Citoyen de Bruxelles
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.277 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-87542-160-9
- EAN9782875421609
- Date de parution13/04/2018
- ÉditeurLuc Pire
Résumé
Yvan Mayeur s'est retiré de la vie politique. Aujourd'hui, il souhaite témoigner au sujet de son travail, de ses réalisations à Bruxelles, du sauvetage des hôpitaux publics, du piétonnier, des actions sociales, de la réforme de la police, de la construction de logements, de la création d'emplois dans les entreprises publique Il a porté la responsabilité mayorale de la Ville de Bruxelles dans des moments d'une exceptionnelle gravité.
Et puis aussi parler du Samusocial. A ce sujet, il souhaite donner sa vérité et défendre son travail. "Je ne veux pas me plaindre, mais j'ai le droit de me défendre. Et miser de façon optimiste sur ce qu'il peut rester de bienveillance, après tout."
Et puis aussi parler du Samusocial. A ce sujet, il souhaite donner sa vérité et défendre son travail. "Je ne veux pas me plaindre, mais j'ai le droit de me défendre. Et miser de façon optimiste sur ce qu'il peut rester de bienveillance, après tout."
Yvan Mayeur s'est retiré de la vie politique. Aujourd'hui, il souhaite témoigner au sujet de son travail, de ses réalisations à Bruxelles, du sauvetage des hôpitaux publics, du piétonnier, des actions sociales, de la réforme de la police, de la construction de logements, de la création d'emplois dans les entreprises publique Il a porté la responsabilité mayorale de la Ville de Bruxelles dans des moments d'une exceptionnelle gravité.
Et puis aussi parler du Samusocial. A ce sujet, il souhaite donner sa vérité et défendre son travail. "Je ne veux pas me plaindre, mais j'ai le droit de me défendre. Et miser de façon optimiste sur ce qu'il peut rester de bienveillance, après tout."
Et puis aussi parler du Samusocial. A ce sujet, il souhaite donner sa vérité et défendre son travail. "Je ne veux pas me plaindre, mais j'ai le droit de me défendre. Et miser de façon optimiste sur ce qu'il peut rester de bienveillance, après tout."