Cicatrices. L'existence dans la peau
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- Nombre de pages249
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.268 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,4 cm × 2,1 cm
- ISBN979-10-226-1398-9
- EAN9791022613989
- Date de parution13/09/2024
- CollectionTraversées
- ÉditeurMétailié
Résumé
David Le Breton revient ici au corps, mieux, à la peau et à son apparence, à son toucher. Il essaie de comprendre le rôle que jouent ces traces permanentes d'existence passée qui ne sont pas toutes lisibles, mais d'une certaine façon contaminent le sentiment d'identité tout entier. "La qualité de la relation au monde est une question de peau et de solidarité de la fonction contenante", écrit-il à propos de ces traces d'événements qui sont venues percuter le corps, marquant à jamais sur sa superficie des "avants" et des "après".
Même si elles remplacent parfois le non-souvenir, sa permanence, sa rugosité sur notre frontière physique qui sépare le dedans du dehors, les cicatrices nous interdisent d'échapper à notre propre histoire physique. Elles rappellent un ancien corps à corps avec le monde, et parfois même avec la société quand elle n'est pas provocation volontaire, voire anagramme du désir pour le plus positif, flétrissure pour le pire.
Et puis, rappelle D. Le Breton, il y a toutes ces cicatrises infligées par soi-même. Un texte savant et populaire sur un sujet peu abordé mais qui concerne tout le monde, une façon pour tout un chacun de se découvrir lui-même.
Même si elles remplacent parfois le non-souvenir, sa permanence, sa rugosité sur notre frontière physique qui sépare le dedans du dehors, les cicatrices nous interdisent d'échapper à notre propre histoire physique. Elles rappellent un ancien corps à corps avec le monde, et parfois même avec la société quand elle n'est pas provocation volontaire, voire anagramme du désir pour le plus positif, flétrissure pour le pire.
Et puis, rappelle D. Le Breton, il y a toutes ces cicatrises infligées par soi-même. Un texte savant et populaire sur un sujet peu abordé mais qui concerne tout le monde, une façon pour tout un chacun de se découvrir lui-même.
David Le Breton revient ici au corps, mieux, à la peau et à son apparence, à son toucher. Il essaie de comprendre le rôle que jouent ces traces permanentes d'existence passée qui ne sont pas toutes lisibles, mais d'une certaine façon contaminent le sentiment d'identité tout entier. "La qualité de la relation au monde est une question de peau et de solidarité de la fonction contenante", écrit-il à propos de ces traces d'événements qui sont venues percuter le corps, marquant à jamais sur sa superficie des "avants" et des "après".
Même si elles remplacent parfois le non-souvenir, sa permanence, sa rugosité sur notre frontière physique qui sépare le dedans du dehors, les cicatrices nous interdisent d'échapper à notre propre histoire physique. Elles rappellent un ancien corps à corps avec le monde, et parfois même avec la société quand elle n'est pas provocation volontaire, voire anagramme du désir pour le plus positif, flétrissure pour le pire.
Et puis, rappelle D. Le Breton, il y a toutes ces cicatrises infligées par soi-même. Un texte savant et populaire sur un sujet peu abordé mais qui concerne tout le monde, une façon pour tout un chacun de se découvrir lui-même.
Même si elles remplacent parfois le non-souvenir, sa permanence, sa rugosité sur notre frontière physique qui sépare le dedans du dehors, les cicatrices nous interdisent d'échapper à notre propre histoire physique. Elles rappellent un ancien corps à corps avec le monde, et parfois même avec la société quand elle n'est pas provocation volontaire, voire anagramme du désir pour le plus positif, flétrissure pour le pire.
Et puis, rappelle D. Le Breton, il y a toutes ces cicatrises infligées par soi-même. Un texte savant et populaire sur un sujet peu abordé mais qui concerne tout le monde, une façon pour tout un chacun de se découvrir lui-même.














