La famille
Grand Format
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- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.269 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-7436-3939-6
- EAN9782743639396
- Date de parution19/04/2017
- ÉditeurRivages
- TraducteurDelphine Valentin
Résumé
Knut et Sonia se rencontrent sur un forum consacré à la littérature. Knut apparaît comme un homme fascinant : il a tout lu, tout vu et sait entretenir le mystère autant que piquer la curiosité de Sonia. Il lui demande une photo d'elle. En échange, elle peut réclamer tous les livres qu'elle veut, il promet de les voler. S'installe alors entre eux un jeu brouillant les pistes. Qui manipule qui ? qui se soumet au désir de l'autre ? Sara Mesa tisse une intrigue diaboliquement maligne, disséquant les travers de notre société.
Elle pose la question ultime d'un monde obsédé par le virtuel : la réalité vaut-elle encore la peine d'être vécue ?
Elle pose la question ultime d'un monde obsédé par le virtuel : la réalité vaut-elle encore la peine d'être vécue ?
Knut et Sonia se rencontrent sur un forum consacré à la littérature. Knut apparaît comme un homme fascinant : il a tout lu, tout vu et sait entretenir le mystère autant que piquer la curiosité de Sonia. Il lui demande une photo d'elle. En échange, elle peut réclamer tous les livres qu'elle veut, il promet de les voler. S'installe alors entre eux un jeu brouillant les pistes. Qui manipule qui ? qui se soumet au désir de l'autre ? Sara Mesa tisse une intrigue diaboliquement maligne, disséquant les travers de notre société.
Elle pose la question ultime d'un monde obsédé par le virtuel : la réalité vaut-elle encore la peine d'être vécue ?
Elle pose la question ultime d'un monde obsédé par le virtuel : la réalité vaut-elle encore la peine d'être vécue ?
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
3/5
“ Malaise virtuel, matérialisme étouffant ”
Ce roman met mal à l'aise, questionne notre rapport aux écrans mais aussi aux objets, notre vie virtuelle percutant notre matérialisme en une sorte de relation inversée. Les hommes s'écrivent, ne se voient pas, tandis que les choses doivent se toucher et se posséder. Pourtant, l'autrice aborde aussi le sujet de l'emprise, de la possession dans Cicatrice, l'héroïne étant engluée dans une relation malsaine mais presque impossible à fuir (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/07/16/cicatrice-sara-mesa/)
Ce roman met mal à l'aise, questionne notre rapport aux écrans mais aussi aux objets, notre vie virtuelle percutant notre matérialisme en une sorte de relation inversée. Les hommes s'écrivent, ne se voient pas, tandis que les choses doivent se toucher et se posséder. Pourtant, l'autrice aborde aussi le sujet de l'emprise, de la possession dans Cicatrice, l'héroïne étant engluée dans une relation malsaine mais presque impossible à fuir (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/07/16/cicatrice-sara-mesa/)
