Chu Teh - Chun. Oeuvres sur papier
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- Nombre de pages80
- PrésentationBroché
- Poids0.692 kg
- Dimensions22,7 cm × 28,9 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-35340-245-8
- EAN9782353402458
- Date de parution14/10/2016
- ÉditeurGourcuff Gradenigo
Résumé
Chu 'eh·Chun (Zhu Dequn) fut un artiste chinois majeur de la seconde moitié du XXe siècle. Né en 1920, il suit les cours de l'Ecole des Beaux-Arts de Hangzhou, dirigée par Lin Fengmian, l'un des principaux hérauts d'une synthèse entre la tradition chinoise et la modernité occidentale. A la fin de ses études, il devient lui-même professeur à Nanjing, puis Taipei, où il sert de modèle à plusieurs générations d'artistes abstraits.
En 1955, il embarque pour la France où il fréquente, comme tant d'autres artistes chinois, la Grande Chaumière. Toutefois, l'événement majeur pour l'évolution de son art est la découverte en 1956 de l'oeuvre de Nicolas de Staël. Il passe alors définitivement à l'abstraction. Il intègre rapidement et mêle dans ses toiles plusieurs éléments du vocabulaire plastique de l'école de Paris, des aplats de couleur de Nicolas de Staël (1914-1955) à l'expressivité gestuelle de Hans Hartung (1904-1989).
Toutefois, l'inscription de son oeuvre au sein de l'école de Paris est dès le début des années 1960 enrichie de références à la tradition artistique chinoise, que ce soit dans les titres ou dans l'évocation de paysages esquissés, dont les modulations rappellent les lavis d'encre ainsi que, parfois, les compositions picturales de son pays d'origine. C'est l'élaboration de cette nouvelle synthèse qui lui vaut sa célébrité et son statut sur la scène contemporaine.
Pour la première fois un ouvrage rassemble une magnifique sélection d'oeuvres sur papier de l'artiste, effectué par son fils.
En 1955, il embarque pour la France où il fréquente, comme tant d'autres artistes chinois, la Grande Chaumière. Toutefois, l'événement majeur pour l'évolution de son art est la découverte en 1956 de l'oeuvre de Nicolas de Staël. Il passe alors définitivement à l'abstraction. Il intègre rapidement et mêle dans ses toiles plusieurs éléments du vocabulaire plastique de l'école de Paris, des aplats de couleur de Nicolas de Staël (1914-1955) à l'expressivité gestuelle de Hans Hartung (1904-1989).
Toutefois, l'inscription de son oeuvre au sein de l'école de Paris est dès le début des années 1960 enrichie de références à la tradition artistique chinoise, que ce soit dans les titres ou dans l'évocation de paysages esquissés, dont les modulations rappellent les lavis d'encre ainsi que, parfois, les compositions picturales de son pays d'origine. C'est l'élaboration de cette nouvelle synthèse qui lui vaut sa célébrité et son statut sur la scène contemporaine.
Pour la première fois un ouvrage rassemble une magnifique sélection d'oeuvres sur papier de l'artiste, effectué par son fils.
Chu 'eh·Chun (Zhu Dequn) fut un artiste chinois majeur de la seconde moitié du XXe siècle. Né en 1920, il suit les cours de l'Ecole des Beaux-Arts de Hangzhou, dirigée par Lin Fengmian, l'un des principaux hérauts d'une synthèse entre la tradition chinoise et la modernité occidentale. A la fin de ses études, il devient lui-même professeur à Nanjing, puis Taipei, où il sert de modèle à plusieurs générations d'artistes abstraits.
En 1955, il embarque pour la France où il fréquente, comme tant d'autres artistes chinois, la Grande Chaumière. Toutefois, l'événement majeur pour l'évolution de son art est la découverte en 1956 de l'oeuvre de Nicolas de Staël. Il passe alors définitivement à l'abstraction. Il intègre rapidement et mêle dans ses toiles plusieurs éléments du vocabulaire plastique de l'école de Paris, des aplats de couleur de Nicolas de Staël (1914-1955) à l'expressivité gestuelle de Hans Hartung (1904-1989).
Toutefois, l'inscription de son oeuvre au sein de l'école de Paris est dès le début des années 1960 enrichie de références à la tradition artistique chinoise, que ce soit dans les titres ou dans l'évocation de paysages esquissés, dont les modulations rappellent les lavis d'encre ainsi que, parfois, les compositions picturales de son pays d'origine. C'est l'élaboration de cette nouvelle synthèse qui lui vaut sa célébrité et son statut sur la scène contemporaine.
Pour la première fois un ouvrage rassemble une magnifique sélection d'oeuvres sur papier de l'artiste, effectué par son fils.
En 1955, il embarque pour la France où il fréquente, comme tant d'autres artistes chinois, la Grande Chaumière. Toutefois, l'événement majeur pour l'évolution de son art est la découverte en 1956 de l'oeuvre de Nicolas de Staël. Il passe alors définitivement à l'abstraction. Il intègre rapidement et mêle dans ses toiles plusieurs éléments du vocabulaire plastique de l'école de Paris, des aplats de couleur de Nicolas de Staël (1914-1955) à l'expressivité gestuelle de Hans Hartung (1904-1989).
Toutefois, l'inscription de son oeuvre au sein de l'école de Paris est dès le début des années 1960 enrichie de références à la tradition artistique chinoise, que ce soit dans les titres ou dans l'évocation de paysages esquissés, dont les modulations rappellent les lavis d'encre ainsi que, parfois, les compositions picturales de son pays d'origine. C'est l'élaboration de cette nouvelle synthèse qui lui vaut sa célébrité et son statut sur la scène contemporaine.
Pour la première fois un ouvrage rassemble une magnifique sélection d'oeuvres sur papier de l'artiste, effectué par son fils.









