Chroniques terrestres - Occasion

Par : Dino Buzzati

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    • Nombre de pages446
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.47 kg
    • Dimensions14,0 cm × 21,7 cm × 3,3 cm
    • ISBN978-2-221-12767-4
    • EAN9782221127674
    • Date de parution20/03/2014
    • CollectionPavillons
    • ÉditeurRobert Laffont
    • TraducteurDelphine Gachet

    Résumé

    En 1972, quelques mois seulement après la disparition de Dino Buzzati, paraissait en Italie le volume Cronache terrestri (Chroniques terrestres). Hommage au grand journaliste que fut Buzzati, il réunit une sélection de ses articles écrits en quarante ans de carrière, au sein du Corriere della sera. L'écrivain y a occupé des postes très différents, dessinant un parcours singulier et les textes rassemblés ici témoignent de la richesse de cet éclectisme : Buzzati fut rédacteur, correspondant de guerre, envoyé spécial, journaliste sportif, critique d'art, etc, et publia également de nombreuses nouvelles sur la page culturelle du Corriere.
    Avant toute autre chose, Buzzati se révèle être un chroniqueur hors pair et, tout au long de sa carrière, il revendiquera cet attachement à cette forme littéraire, et tout particulièrement à ce que les Italiens appellent la " chronique noire ", celle des méfaits, des délits et des crimes. Mais on lui confia d'autres missions importantes : durant la Seconde Guerre mondiale, il fut correspondant de guerre sur un croiseur de la marine italienne puis, plus tard, il partit à travers le monde comme envoyé spécial.
    En 1967, il eut le très grand plaisir de se voir confier la rubrique de critique d'art du Corriere, qu'il baptisa aussitôt, fidèle à ses idéaux, " chronique d'art ". Dino Buzzati affirmait que le journalisme avait été une école, que l'optimum de l'écriture journalistique correspondait pour lui à l'optimum de l'écriture littéraire. Le but qu'il revendiquait en tant qu'écrivain n'était pas de plaire à la critique, à ceux qui s'intéressent à la littérature mais d'émouvoir les gens qui le lisaient : c'est ce dialogue quotidien, simple, direct avec les lecteurs du journal en quête d'information, cherchant à savoir et à comprendre ce qui s'est passé dans leur ville, dans leur pays, dans le monde que Buzzati a mené tout au long de sa carrière de journaliste, et qu'il a voulu poursuivre au long de sa carrière d'écrivain.
    En 1972, quelques mois seulement après la disparition de Dino Buzzati, paraissait en Italie le volume Cronache terrestri (Chroniques terrestres). Hommage au grand journaliste que fut Buzzati, il réunit une sélection de ses articles écrits en quarante ans de carrière, au sein du Corriere della sera. L'écrivain y a occupé des postes très différents, dessinant un parcours singulier et les textes rassemblés ici témoignent de la richesse de cet éclectisme : Buzzati fut rédacteur, correspondant de guerre, envoyé spécial, journaliste sportif, critique d'art, etc, et publia également de nombreuses nouvelles sur la page culturelle du Corriere.
    Avant toute autre chose, Buzzati se révèle être un chroniqueur hors pair et, tout au long de sa carrière, il revendiquera cet attachement à cette forme littéraire, et tout particulièrement à ce que les Italiens appellent la " chronique noire ", celle des méfaits, des délits et des crimes. Mais on lui confia d'autres missions importantes : durant la Seconde Guerre mondiale, il fut correspondant de guerre sur un croiseur de la marine italienne puis, plus tard, il partit à travers le monde comme envoyé spécial.
    En 1967, il eut le très grand plaisir de se voir confier la rubrique de critique d'art du Corriere, qu'il baptisa aussitôt, fidèle à ses idéaux, " chronique d'art ". Dino Buzzati affirmait que le journalisme avait été une école, que l'optimum de l'écriture journalistique correspondait pour lui à l'optimum de l'écriture littéraire. Le but qu'il revendiquait en tant qu'écrivain n'était pas de plaire à la critique, à ceux qui s'intéressent à la littérature mais d'émouvoir les gens qui le lisaient : c'est ce dialogue quotidien, simple, direct avec les lecteurs du journal en quête d'information, cherchant à savoir et à comprendre ce qui s'est passé dans leur ville, dans leur pays, dans le monde que Buzzati a mené tout au long de sa carrière de journaliste, et qu'il a voulu poursuivre au long de sa carrière d'écrivain.
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