Jamais le royaume Franc n'avait brillé d'un si vif éclat. En témoignait l'exceptionnelle effervescence des artistes, peintres, sculpteurs, émailleurs, orfèvres. Paris devenait capitale et Saint-Denis abbaye royale. Dagobert Ier, entouré de ses conseillers saint Eloi et saint Ouen, régnait alors sur un monde Franc, une dernière fois unifié. De 629 à 639, la dynastie Mérovingienne connut son apogée et son ultime floraison. Car déjà de puissantes aristocraties régionales monopolisaient les charges publiques en attendant de confisquer à leur profit la réalité du pouvoir. Ainsi du moins le rapportent les deux rares documents historiques de cette période : la Chronique du Pseudo-Frédégaire, et la Vie de Dagobert.
Jamais le royaume Franc n'avait brillé d'un si vif éclat. En témoignait l'exceptionnelle effervescence des artistes, peintres, sculpteurs, émailleurs, orfèvres. Paris devenait capitale et Saint-Denis abbaye royale. Dagobert Ier, entouré de ses conseillers saint Eloi et saint Ouen, régnait alors sur un monde Franc, une dernière fois unifié. De 629 à 639, la dynastie Mérovingienne connut son apogée et son ultime floraison. Car déjà de puissantes aristocraties régionales monopolisaient les charges publiques en attendant de confisquer à leur profit la réalité du pouvoir. Ainsi du moins le rapportent les deux rares documents historiques de cette période : la Chronique du Pseudo-Frédégaire, et la Vie de Dagobert.