Chronique. Tome 1

Par : Eusèbe de Césarée
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  • Nombre de pages560
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.68 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,9 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-251-45079-7
  • EAN9782251450797
  • Date de parution06/03/2020
  • CollectionLa roue à livres
  • ÉditeurBelles Lettres
  • PréfacierAude Cohen-Skalli
  • TraducteurAgnès Ouzounian
  • Commentateur (texte)Sergio Brillante

Résumé

Aux premiers siècles du christianisme, les païens restaient aux yeux des chrétiens les maîtres des formes traditionnelles de l'historiographie. Ainsi, il n'y eut aucune tentative sérieuse de christianiser Thucydide ou Tacite, qu'on étudiait pourtant encore avec soin. Il fallait donc soit inventer de nouvelles formes, comme l'histoire de l'Eglise, soit se cantonner à des genres déjà connus, comme la chronographie, en y ajoutant toutefois un message : c'est ce dernier chemin qu'emprunta Eusèbe de Césarée (env.
260339/340) dans sa Chronique. Dans cette oeuvre en deux livres, la chronologie devient philosophie de l'histoire. Tout antiquisant a un jour ou l'autre affaire à cette oeuvre labyrinthique, qui va d'Abraham jusqu'à l'époque romaine et couvre tous les peuples connus, des Chaldéens aux Assyriens, Mèdes, Lydiens, Perses, Hébreux, Egyptiens, Grecs et Romains. Ainsi, la Chronique est une référence indispensable pour le spécialiste d'histoire du christianisme, pour le chercheur en historiographie (Eusèbe étant une mine de fragments d'historiens perdus), mais aussi pour l'assyriologue, l'helléniste, le romaniste ou tout spécialiste d'autres secteurs, cherchant à dater tel ou tel épisode.
L'original grec est perdu, mais on en conserve une version arménienne, qui remonte au ve ou au vie siècle. Le présent volume fournit la première traduction française de la première partie de la Chronique.
Aux premiers siècles du christianisme, les païens restaient aux yeux des chrétiens les maîtres des formes traditionnelles de l'historiographie. Ainsi, il n'y eut aucune tentative sérieuse de christianiser Thucydide ou Tacite, qu'on étudiait pourtant encore avec soin. Il fallait donc soit inventer de nouvelles formes, comme l'histoire de l'Eglise, soit se cantonner à des genres déjà connus, comme la chronographie, en y ajoutant toutefois un message : c'est ce dernier chemin qu'emprunta Eusèbe de Césarée (env.
260339/340) dans sa Chronique. Dans cette oeuvre en deux livres, la chronologie devient philosophie de l'histoire. Tout antiquisant a un jour ou l'autre affaire à cette oeuvre labyrinthique, qui va d'Abraham jusqu'à l'époque romaine et couvre tous les peuples connus, des Chaldéens aux Assyriens, Mèdes, Lydiens, Perses, Hébreux, Egyptiens, Grecs et Romains. Ainsi, la Chronique est une référence indispensable pour le spécialiste d'histoire du christianisme, pour le chercheur en historiographie (Eusèbe étant une mine de fragments d'historiens perdus), mais aussi pour l'assyriologue, l'helléniste, le romaniste ou tout spécialiste d'autres secteurs, cherchant à dater tel ou tel épisode.
L'original grec est perdu, mais on en conserve une version arménienne, qui remonte au ve ou au vie siècle. Le présent volume fournit la première traduction française de la première partie de la Chronique.
Chronique
Eusèbe de Césarée
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