Christianisme et monde moderne. Cinquante ans de recherches
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- Nombre de pages461
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.59 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 2,9 cm
- ISBN2-02-059158-8
- EAN9782020591584
- Date de parution01/09/2006
- CollectionHautes études
- ÉditeurCoédition Gallimard/Seuil
- TraducteurAntonella Romano
Résumé
Née dans le sillage de Vatican II, l'œuvre de l'historien Paolo Prodi propose une réflexion, entamée voici cinquante ans, sur la part prise par le christianisme, et plus particulièrement le catholicisme post-tridentin, dans la construction du monde occidental. Depuis ses premiers travaux consacrés à la redéfinition des institutions ecclésiales après le concile de Trente, Paolo Prodi n'a cessé d'ouvrir des pistes de recherche en direction de l'histoire juridique, économique, sociale ou de l'art, puisant ses références et ses concepts non seulement chez les historiens, mais aussi chez les philosophes, les théologiens, les juristes ou les économistes.
Se dessine ainsi, au fil des ans, une œuvre profondément originale et ouverte, qui pose une série de jalons pour l'étude des identités collectives et des sociétés pluriculturelles, formule des hypothèses de travail sur l'histoire de la tolérance dans le monde occidental, identifie de nouvelles sources à la naissance du capitalisme. Tout au long de ces cinquante années d'un parcours de recherche marqué par d'importantes contributions individuelles et l'engagement dans de nombreuses et foisonnantes entreprises collectives, il noue un dialogue sans cesse renouvelé avec les principales figures (passées ou présentes) des sciences sociales contemporaines.
Se dessine ainsi, au fil des ans, une œuvre profondément originale et ouverte, qui pose une série de jalons pour l'étude des identités collectives et des sociétés pluriculturelles, formule des hypothèses de travail sur l'histoire de la tolérance dans le monde occidental, identifie de nouvelles sources à la naissance du capitalisme. Tout au long de ces cinquante années d'un parcours de recherche marqué par d'importantes contributions individuelles et l'engagement dans de nombreuses et foisonnantes entreprises collectives, il noue un dialogue sans cesse renouvelé avec les principales figures (passées ou présentes) des sciences sociales contemporaines.
Née dans le sillage de Vatican II, l'œuvre de l'historien Paolo Prodi propose une réflexion, entamée voici cinquante ans, sur la part prise par le christianisme, et plus particulièrement le catholicisme post-tridentin, dans la construction du monde occidental. Depuis ses premiers travaux consacrés à la redéfinition des institutions ecclésiales après le concile de Trente, Paolo Prodi n'a cessé d'ouvrir des pistes de recherche en direction de l'histoire juridique, économique, sociale ou de l'art, puisant ses références et ses concepts non seulement chez les historiens, mais aussi chez les philosophes, les théologiens, les juristes ou les économistes.
Se dessine ainsi, au fil des ans, une œuvre profondément originale et ouverte, qui pose une série de jalons pour l'étude des identités collectives et des sociétés pluriculturelles, formule des hypothèses de travail sur l'histoire de la tolérance dans le monde occidental, identifie de nouvelles sources à la naissance du capitalisme. Tout au long de ces cinquante années d'un parcours de recherche marqué par d'importantes contributions individuelles et l'engagement dans de nombreuses et foisonnantes entreprises collectives, il noue un dialogue sans cesse renouvelé avec les principales figures (passées ou présentes) des sciences sociales contemporaines.
Se dessine ainsi, au fil des ans, une œuvre profondément originale et ouverte, qui pose une série de jalons pour l'étude des identités collectives et des sociétés pluriculturelles, formule des hypothèses de travail sur l'histoire de la tolérance dans le monde occidental, identifie de nouvelles sources à la naissance du capitalisme. Tout au long de ces cinquante années d'un parcours de recherche marqué par d'importantes contributions individuelles et l'engagement dans de nombreuses et foisonnantes entreprises collectives, il noue un dialogue sans cesse renouvelé avec les principales figures (passées ou présentes) des sciences sociales contemporaines.