Choses humaines, trop humaines, Nietzsche.. " De l'âme des artistes et des écrivains " (§§ 145 à 156)

Par : Olivier Ponton

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  • Nombre de pages94
  • PrésentationBroché
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions14,5 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-7298-0627-X
  • EAN9782729806279
  • Date de parution21/09/2001
  • CollectionPhilo-textes
  • ÉditeurEllipses

Résumé

Entre la " métaphysique d'artiste " et la " physiologie de l'art ", les paragraphes 145 à 156 de Choses humaines, trop humaines, présentés ici dans une nouvelle traduction, correspondent à une étape essentielle : la recherche d'une explication " psychologique " de l'art, c'est-à-dire " exempte de mythologie " (§ 132). Nietzsche dénonce et explique ainsi, dans le cadre de cette " science de l'art ", la mythologie romantique du " génie " et de l' " inspiration ". Il s'efforce de comprendre la tâche assumée et les effets recherchés ou atteints par l'artiste, qu'il ne considère plus comme le " médium " de forces artistiques originaires, ni encore comme " nature " individuelle, idiosyncrasie pulsionnelle et stylistique, mais comme une " âme " se communiquant à nous, nous transmettant des sentiments, passions, désirs, et utilisant pour ce faire des artifices et des procédés que le philosophe à l'esprit libre se doit d'examiner.
Entre la " métaphysique d'artiste " et la " physiologie de l'art ", les paragraphes 145 à 156 de Choses humaines, trop humaines, présentés ici dans une nouvelle traduction, correspondent à une étape essentielle : la recherche d'une explication " psychologique " de l'art, c'est-à-dire " exempte de mythologie " (§ 132). Nietzsche dénonce et explique ainsi, dans le cadre de cette " science de l'art ", la mythologie romantique du " génie " et de l' " inspiration ". Il s'efforce de comprendre la tâche assumée et les effets recherchés ou atteints par l'artiste, qu'il ne considère plus comme le " médium " de forces artistiques originaires, ni encore comme " nature " individuelle, idiosyncrasie pulsionnelle et stylistique, mais comme une " âme " se communiquant à nous, nous transmettant des sentiments, passions, désirs, et utilisant pour ce faire des artifices et des procédés que le philosophe à l'esprit libre se doit d'examiner.