Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Entre la " métaphysique d'artiste " et la " physiologie de l'art ", les paragraphes 145 à 156 de Choses humaines, trop humaines, présentés ici dans...
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Résumé
Entre la " métaphysique d'artiste " et la " physiologie de l'art ", les paragraphes 145 à 156 de Choses humaines, trop humaines, présentés ici dans une nouvelle traduction, correspondent à une étape essentielle : la recherche d'une explication " psychologique " de l'art, c'est-à-dire " exempte de mythologie " (§ 132). Nietzsche dénonce et explique ainsi, dans le cadre de cette " science de l'art ", la mythologie romantique du " génie " et de l' " inspiration ". Il s'efforce de comprendre la tâche assumée et les effets recherchés ou atteints par l'artiste, qu'il ne considère plus comme le " médium " de forces artistiques originaires, ni encore comme " nature " individuelle, idiosyncrasie pulsionnelle et stylistique, mais comme une " âme " se communiquant à nous, nous transmettant des sentiments, passions, désirs, et utilisant pour ce faire des artifices et des procédés que le philosophe à l'esprit libre se doit d'examiner.