Chopin, la guerre et moi

Par : Marie-Véronique Gauthier

Disponible d'occasion :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages162
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-911416-34-1
  • EAN9782911416347
  • Date de parution22/01/2000
  • ÉditeurImago (editions)

Résumé

Je ne l'appelle plus que par son prénom, Frédéric, le plu beau prénom qui existe sur terre et dans les étoiles. Je suis moins respectueuse qu'au début, j'ai le droit, personne ne vient vérifier comment je lui parle. Alors des fois, c'est comme avec mon petit frère, je suis familière, mais je suis amoureuse de lui et il est plus vieux que moi ! Je sais qu'il est mort mais je ne peux pas m'empêcher de vivre la grande passion avec lui. De toute façon il ne me quitte pas, je le vois dans mon ombre de cet automne, quand on revient aux dortoirs par l'allée qui traverse un peu la forêt et que le soleil descend sur nos uniformes. Si je me perçais mes veines, c'est son sang qui coulerait avec le mien.
Je ne l'appelle plus que par son prénom, Frédéric, le plu beau prénom qui existe sur terre et dans les étoiles. Je suis moins respectueuse qu'au début, j'ai le droit, personne ne vient vérifier comment je lui parle. Alors des fois, c'est comme avec mon petit frère, je suis familière, mais je suis amoureuse de lui et il est plus vieux que moi ! Je sais qu'il est mort mais je ne peux pas m'empêcher de vivre la grande passion avec lui. De toute façon il ne me quitte pas, je le vois dans mon ombre de cet automne, quand on revient aux dortoirs par l'allée qui traverse un peu la forêt et que le soleil descend sur nos uniformes. Si je me perçais mes veines, c'est son sang qui coulerait avec le mien.
Chopin, les civils et moi
Marie-Véronique Gauthier
E-book
9,99 €