Chinese Porcelains of the Santos Palace
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- Nombre de pages496
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids2.815 kg
- Dimensions25,3 cm × 28,6 cm × 4,8 cm
- ISBN978-2-35906-348-6
- EAN9782359063486
- Date de parution18/11/2021
- ÉditeurCoédition Liénart/MNAAG
- TraducteurJeremy Harrison
- TraducteurMarie-Paule Chamayou
- TraducteurEtienne Schelstraete
Résumé
Le palais de Santos à Lisbonne, aujourd'hui siège de l'ambassade de France au Portugal, recèle un trésor : un petit salon carré, coiffé d'un toit pyramidal en bois doré, sur lequel sont accrochés près de trois cents plats et assiettes de porcelaine chinoise au décor majoritairement blanc et bleu. Unique au monde, cette collection de porcelaines chinoises, constituant l'incomparable et somptueux décor de la "salle des Porcelaines" du palais de Santos, illustre l'histoire de la production de céramiques en Chine, entre les débuts du XVIe siècle et la fin du XVIIIe siècle, et son commerce avec l'Europe.
L'importation par bateau de cargaisons de céramiques chinoises ainsi que de nombreuses autres productions à partir du XVIe siècle a eu un impact économique considérable, mais a surtout ouvert une fenêtre sur deux mondes. L'Europe découvre alors la Chine, et la Chine l'Europe, via les cargaisons de retours. Ces échanges ont également donné lieu à des transferts technologiques et à d'étonnantes créations artistiques sur le sol européen.
Si cette collection constitue le plus grand ensemble de porcelaines chinoises arrivées de façon si précoce en Europe, elle est quasiment inconnue des spécialistes chinois et a fortiori du grand public, aussi bien chinois qu'européen.
L'importation par bateau de cargaisons de céramiques chinoises ainsi que de nombreuses autres productions à partir du XVIe siècle a eu un impact économique considérable, mais a surtout ouvert une fenêtre sur deux mondes. L'Europe découvre alors la Chine, et la Chine l'Europe, via les cargaisons de retours. Ces échanges ont également donné lieu à des transferts technologiques et à d'étonnantes créations artistiques sur le sol européen.
Si cette collection constitue le plus grand ensemble de porcelaines chinoises arrivées de façon si précoce en Europe, elle est quasiment inconnue des spécialistes chinois et a fortiori du grand public, aussi bien chinois qu'européen.
Le palais de Santos à Lisbonne, aujourd'hui siège de l'ambassade de France au Portugal, recèle un trésor : un petit salon carré, coiffé d'un toit pyramidal en bois doré, sur lequel sont accrochés près de trois cents plats et assiettes de porcelaine chinoise au décor majoritairement blanc et bleu. Unique au monde, cette collection de porcelaines chinoises, constituant l'incomparable et somptueux décor de la "salle des Porcelaines" du palais de Santos, illustre l'histoire de la production de céramiques en Chine, entre les débuts du XVIe siècle et la fin du XVIIIe siècle, et son commerce avec l'Europe.
L'importation par bateau de cargaisons de céramiques chinoises ainsi que de nombreuses autres productions à partir du XVIe siècle a eu un impact économique considérable, mais a surtout ouvert une fenêtre sur deux mondes. L'Europe découvre alors la Chine, et la Chine l'Europe, via les cargaisons de retours. Ces échanges ont également donné lieu à des transferts technologiques et à d'étonnantes créations artistiques sur le sol européen.
Si cette collection constitue le plus grand ensemble de porcelaines chinoises arrivées de façon si précoce en Europe, elle est quasiment inconnue des spécialistes chinois et a fortiori du grand public, aussi bien chinois qu'européen.
L'importation par bateau de cargaisons de céramiques chinoises ainsi que de nombreuses autres productions à partir du XVIe siècle a eu un impact économique considérable, mais a surtout ouvert une fenêtre sur deux mondes. L'Europe découvre alors la Chine, et la Chine l'Europe, via les cargaisons de retours. Ces échanges ont également donné lieu à des transferts technologiques et à d'étonnantes créations artistiques sur le sol européen.
Si cette collection constitue le plus grand ensemble de porcelaines chinoises arrivées de façon si précoce en Europe, elle est quasiment inconnue des spécialistes chinois et a fortiori du grand public, aussi bien chinois qu'européen.