Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Allah prit une poignée de vent, raconte la légende, et en créa un cheval auquel il dit : " J'ai attaché aux crins de ton front le succès, je t'établis...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Allah prit une poignée de vent, raconte la légende, et en créa un cheval auquel il dit : " J'ai attaché aux crins de ton front le succès, je t'établis roi des quadrupèdes domestiques. " L'Orient est en effet le berceau de quelques-uns des meilleurs chevaux : l'akhal-téké en Asie centrale, le barbe en Afrique du Nord et, bien sûr, l'archétype de l'espèce, le pur-sang arabe. De Marrakech à Samarcande, le cheval, symbole de noblesse, de droiture et de bravoure, devint l'infatigable auxiliaire des conquérants, l'idéal compagnon d'armes, de chasse et des jeux princiers. Paré de toutes les vertus, objet parfois de superstitions, il a inspiré une abondante littérature arabe - poésie ou manuels d'hippiatrie dits traités de furûsiyya -, et de riches miniatures, principalement persanes ou mogholes. Au XVIIIe siècle, l'Occident est à son tour conquis : tout en contribuant à la création ou à l'amélioration d'autres races, les chevaux d'Orient font leur entrée dans les plus grandes cours d'Europe, avant d'inspirer les peintres orientalistes par l'élégance de leurs formes. Aujourd'hui comme hier, c'est dans le respect des traditions ancestrales que les Orientaux continuent à célébrer ces nobles coursiers, " buveurs de vent ".