Châtellerault et son pays. Tome 2

Par : Claudine Pauly, Jean-Paul Dubout

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • Poids0.5 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,0 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-84910-663-1
  • EAN9782849106631
  • Date de parution01/11/2007
  • CollectionPassé Simple
  • ÉditeurSutton éditions

Résumé

Le pays Châtelleraudais a le privilège d'être traversé par la Vienne, le Clain, l'Ozon et l'Envigne. De nos jours, certains ne voient plus guère dans nos rivières que des éléments naturels récréatifs. C'est oublier qu'elles furent pendant des siècles le théâtre d'activités intenses. La force hydraulique a permis depuis le Moyen Age de faire fonctionner des moulins souvent reconvertis en manufactures.
La Vienne, voie navigable, généra un important trafic fluvial jusqu'à la fin du XIXe siècle. Les ports de bac avaient un rôle de première importance dans les villages. Sur les rives foisonnaient les lavoirs, lieux de rencontre animés des lavandières. La pêche, particulièrement celle du saumon, permettait d'ajouter dans une atmosphère sérieuse ou plus décontractée quelques revenus à des salaires souvent modestes.
Mais le bord de l'eau, c'était aussi, quand le travail était terminé, le plaisir des promenades et des baignades, les fêtes nautiques, les agréables moments passés dans les guinguettes. Les meuniers, les bateliers, les passeurs, les lavandières, les pêcheurs et les promeneurs du dimanche donnaient de la vie à cet environnement si particulier. Claudine Pauly et Jean-Paul Dubout ont retrouvé la mémoire de ces lieux de travail et de loisirs.
Dans cet ouvrage, le texte, émaillé de témoignages, s'appuie sur des recherches en archives. L'illustration privilégie les documents anciens (cartes postales, factures...) mais elle n'en néglige pas pour autant des clichés plus récents.
Le pays Châtelleraudais a le privilège d'être traversé par la Vienne, le Clain, l'Ozon et l'Envigne. De nos jours, certains ne voient plus guère dans nos rivières que des éléments naturels récréatifs. C'est oublier qu'elles furent pendant des siècles le théâtre d'activités intenses. La force hydraulique a permis depuis le Moyen Age de faire fonctionner des moulins souvent reconvertis en manufactures.
La Vienne, voie navigable, généra un important trafic fluvial jusqu'à la fin du XIXe siècle. Les ports de bac avaient un rôle de première importance dans les villages. Sur les rives foisonnaient les lavoirs, lieux de rencontre animés des lavandières. La pêche, particulièrement celle du saumon, permettait d'ajouter dans une atmosphère sérieuse ou plus décontractée quelques revenus à des salaires souvent modestes.
Mais le bord de l'eau, c'était aussi, quand le travail était terminé, le plaisir des promenades et des baignades, les fêtes nautiques, les agréables moments passés dans les guinguettes. Les meuniers, les bateliers, les passeurs, les lavandières, les pêcheurs et les promeneurs du dimanche donnaient de la vie à cet environnement si particulier. Claudine Pauly et Jean-Paul Dubout ont retrouvé la mémoire de ces lieux de travail et de loisirs.
Dans cet ouvrage, le texte, émaillé de témoignages, s'appuie sur des recherches en archives. L'illustration privilégie les documents anciens (cartes postales, factures...) mais elle n'en néglige pas pour autant des clichés plus récents.