Charles Frémont. Paris au temps des fiacres - Photographies, 1885-1914

Par : Eric Hazan

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  • Nombre de pages144
  • PrésentationRelié
  • Poids0.976 kg
  • Dimensions23,0 cm × 29,4 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-02-124063-4
  • EAN9782021240634
  • Date de parution22/10/2015
  • ÉditeurSeuil

Résumé

Charles Fremont, fils et petit-fils de serruriers montmartrois, serrurier lui-même dans sa jeunesse, n'était en rien prédisposé à devenir Photographe. Mais pour gagner sa vie, il est engagé à l'hôtel-Dieu en ' 1885 et chargé de photographier les salles et les malades. Ensuite, parallèlement à des activités scientifiques sur les métaux, qui le mèneront jusqu'à l'Ecole des Mines et lui vaudront une notoriété internationale, il va arpenter les rues de Paris et photographier pour son plaisir.
Ses images, qui montrent le mouvement de la ville depuis les années 1880 jusqu'à la guerre de 1914, ne forment pas des séries systématiques, ne détaillent pas les monuments. Elles restituent pour nous une cité où les omnibus sont tirés par des chevaux, où les quartiers populaires sont traversés par de grands carnavals, où les premières femmes cyclistes sont empêtrées dans leurs jupes longues, où le moulin de la Galette est une guinguette branlante et où l'Exposition universelle de 1900 déploie des fastes inimaginables.
Un témoignage inédit sur un Paris que Charles Fremont sent disparaître et dont il nous transmet magnifiquement la mémoire.
Charles Fremont, fils et petit-fils de serruriers montmartrois, serrurier lui-même dans sa jeunesse, n'était en rien prédisposé à devenir Photographe. Mais pour gagner sa vie, il est engagé à l'hôtel-Dieu en ' 1885 et chargé de photographier les salles et les malades. Ensuite, parallèlement à des activités scientifiques sur les métaux, qui le mèneront jusqu'à l'Ecole des Mines et lui vaudront une notoriété internationale, il va arpenter les rues de Paris et photographier pour son plaisir.
Ses images, qui montrent le mouvement de la ville depuis les années 1880 jusqu'à la guerre de 1914, ne forment pas des séries systématiques, ne détaillent pas les monuments. Elles restituent pour nous une cité où les omnibus sont tirés par des chevaux, où les quartiers populaires sont traversés par de grands carnavals, où les premières femmes cyclistes sont empêtrées dans leurs jupes longues, où le moulin de la Galette est une guinguette branlante et où l'Exposition universelle de 1900 déploie des fastes inimaginables.
Un témoignage inédit sur un Paris que Charles Fremont sent disparaître et dont il nous transmet magnifiquement la mémoire.