Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Charles Brouty appartient à une génération d'artistes qui a donné ses lettres de noblesse à l'Algérie. Brouty collabore avec talent à l'illustration...
Lire la suite
30,43 €
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 2 avril et le 5 avril
En librairie
Résumé
Charles Brouty appartient à une génération d'artistes qui a donné ses lettres de noblesse à l'Algérie. Brouty collabore avec talent à l'illustration de la grande presse et de très nombreux ouvrages où il combine, dans ses croquis, choses et gens. Passionnés comme lui par le peuple d'Alger, deux grands artistes, Jean Launois et Étienne Bouchaud, l'accompagnent. En 1930-1931, il obtient la bourse de la Casa de Velasquez, puis le Grand Prix artistique de l'Algérie. Virtuose d'un dessin qu'il a constamment épuré pour le réduire à l'essentiel, Brouty fait preuve dans ses notations d'une maîtrise absolue. Attiré par le désert comme Camus, il a aussi surpris les Touaregs sous leurs tentes, parcouru le Tchad, le Ténéré, s'est arrêté partout : -El-Goléa, Ouargla, Ghardaïa, Djanet, In-Salah, Timimoun, Agadès, Nduigmi, et a fixé le monde nouveau des derricks dans les étendues de sable saharien. Le journaliste Jean Brune observe : "Charles Brouty n'a plus besoin du parrainage des "grands" qui l'ont précédé sur les sentiers de l'art. Il est lui-même un "grand" et nul ne saurait lui contester la place qu'il occupe."