Fabrice Flipo est ingénieur et philosophe, maître de conférences au GET/INT, membre du groupe de recherche ETOS. Il a publié un ouvrage sur la justice globale et anime un séminaire sur les politiques planétaires et le développement durable.
Changer les modes de vie. Une dialectique matérialiste par-delà le plan et le marché
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- Nombre de pages232
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.304 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36512-461-4
- EAN9782365124614
- Date de parution05/11/2024
- ÉditeurCroquant (Editions du)
Résumé
Crise écologique, inégalités : la faute au marché ! Il faut donc planifier. Mais comment planifier une société qui est pour l'essentiel à inventer ? Au terme d'un bilan assez détaillé tant du libéralisme que des modèles de socialisme cherchant à le dépasser positivement, à l'exemple de l'expérience yougoslave, la thèse développée dans ce livre à la suite de Rudolf Bahro et d'Otto Neurath est que l'enjeu est moins de planifier ou de socialiser le marché que de maîtriser les modes de vie, pour permettre aux humains de faire l'histoire qu'ils font.
Cela suppose de sortir de "l'économisme", qui réduit la discussion aux prix et/ou aux quantités, pour saisir de façon dialectique le devenir les trajectoires collectives et explorer l'avenir ; et, dans ce but, de s'appuyer sur la recherche matérialiste et collective de la vérité, dans la complexité de ses trois dimensions, contre les trois grandes formes de fétichisme et de rapports de force que sont la domination, l'exploitation et l'aliénation.
Il apparaît alors clairement qu'un changement d'identité engage des actions très différentes d'un changement politique (prendre le pouvoir) ou d'un changement économique (affecter des ressources). De là une vision renouvelée d'une dialectique matérialiste émancipatrice.
Cela suppose de sortir de "l'économisme", qui réduit la discussion aux prix et/ou aux quantités, pour saisir de façon dialectique le devenir les trajectoires collectives et explorer l'avenir ; et, dans ce but, de s'appuyer sur la recherche matérialiste et collective de la vérité, dans la complexité de ses trois dimensions, contre les trois grandes formes de fétichisme et de rapports de force que sont la domination, l'exploitation et l'aliénation.
Il apparaît alors clairement qu'un changement d'identité engage des actions très différentes d'un changement politique (prendre le pouvoir) ou d'un changement économique (affecter des ressources). De là une vision renouvelée d'une dialectique matérialiste émancipatrice.
Crise écologique, inégalités : la faute au marché ! Il faut donc planifier. Mais comment planifier une société qui est pour l'essentiel à inventer ? Au terme d'un bilan assez détaillé tant du libéralisme que des modèles de socialisme cherchant à le dépasser positivement, à l'exemple de l'expérience yougoslave, la thèse développée dans ce livre à la suite de Rudolf Bahro et d'Otto Neurath est que l'enjeu est moins de planifier ou de socialiser le marché que de maîtriser les modes de vie, pour permettre aux humains de faire l'histoire qu'ils font.
Cela suppose de sortir de "l'économisme", qui réduit la discussion aux prix et/ou aux quantités, pour saisir de façon dialectique le devenir les trajectoires collectives et explorer l'avenir ; et, dans ce but, de s'appuyer sur la recherche matérialiste et collective de la vérité, dans la complexité de ses trois dimensions, contre les trois grandes formes de fétichisme et de rapports de force que sont la domination, l'exploitation et l'aliénation.
Il apparaît alors clairement qu'un changement d'identité engage des actions très différentes d'un changement politique (prendre le pouvoir) ou d'un changement économique (affecter des ressources). De là une vision renouvelée d'une dialectique matérialiste émancipatrice.
Cela suppose de sortir de "l'économisme", qui réduit la discussion aux prix et/ou aux quantités, pour saisir de façon dialectique le devenir les trajectoires collectives et explorer l'avenir ; et, dans ce but, de s'appuyer sur la recherche matérialiste et collective de la vérité, dans la complexité de ses trois dimensions, contre les trois grandes formes de fétichisme et de rapports de force que sont la domination, l'exploitation et l'aliénation.
Il apparaît alors clairement qu'un changement d'identité engage des actions très différentes d'un changement politique (prendre le pouvoir) ou d'un changement économique (affecter des ressources). De là une vision renouvelée d'une dialectique matérialiste émancipatrice.