Dans Changer l'oubli, Yvette Z'Graggen, sur les traces de son père, s'efforce de remonter à ses origines longtemps occultées. Publié avec succès en 1989, ce livre démontre que ce thème apparemment très personnel concerne en réalité chacun d'entre nous. L'accueil de la critique a été lui aussi chaleureux, ainsi qu'en témoignent ces quelques extraits : " Le travail d'historienne accompli dans Les Années silencieuses sur une histoire < très ancienne mais pas finie > prélude à la démarche de ce dernier livre : écrire pour comprendre, lever le voile sans emphase sur des secrets pas très glorieux. Raconter, sans effet de style inutile, une destinée individuelle qui devient exemplaire. " Isabelle Ruf, L'Hebdo. " Cette histoire d'une double amnésie, la sienne et celle de son père, Yvette Z'Graggen la fait nôtre aussi : que savons-nous en effet de cette Suisse oubliée où l'on vivait parfois si mal que, pour certains, le seul recours était l'émigration ? " Isabelle Martin, Journal de Genève. " Pas la moindre complaisance, mais un ton mesuré, et vibrant juste ce qu'il faut. " Catherine Dubuis, Ecriture.
Dans Changer l'oubli, Yvette Z'Graggen, sur les traces de son père, s'efforce de remonter à ses origines longtemps occultées. Publié avec succès en 1989, ce livre démontre que ce thème apparemment très personnel concerne en réalité chacun d'entre nous. L'accueil de la critique a été lui aussi chaleureux, ainsi qu'en témoignent ces quelques extraits : " Le travail d'historienne accompli dans Les Années silencieuses sur une histoire < très ancienne mais pas finie > prélude à la démarche de ce dernier livre : écrire pour comprendre, lever le voile sans emphase sur des secrets pas très glorieux. Raconter, sans effet de style inutile, une destinée individuelle qui devient exemplaire. " Isabelle Ruf, L'Hebdo. " Cette histoire d'une double amnésie, la sienne et celle de son père, Yvette Z'Graggen la fait nôtre aussi : que savons-nous en effet de cette Suisse oubliée où l'on vivait parfois si mal que, pour certains, le seul recours était l'émigration ? " Isabelle Martin, Journal de Genève. " Pas la moindre complaisance, mais un ton mesuré, et vibrant juste ce qu'il faut. " Catherine Dubuis, Ecriture.