Changer de genre ?. Comment le malentendu opère chez les jeunes ... et les moins jeunes

Par : Beryl Koener, Jean-Pierre Lebrun
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  • Nombre de pages229
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.282 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-37206-082-0
  • EAN9782372060820
  • Date de parution19/06/2024
  • CollectionEn question
  • ÉditeurCampagne première

Résumé

Cet ouvrage est le fruit d'une rencontre entre un psychiatre, psychanalyste, et une pédopsychiatre, le premier s'efforçant d'identifier les répercussions des mutations sociétales sur l'appareil psychique, la seconde observant dans les demandes de soin les effets parfois ravageurs de ces mutations. Tous deux s'accordent à dire qu'au nom du voeu louable de nous libérer de toute oppression ont été évincés les interdits structurants qui permettaient - et imposaient - à l'enfant de "grandir" (psychiquement, bien sûr).
Sans ces derniers, ce sont des individus non pas libres, mais prisonniers de leurs pulsions qui inondent les cabinets de consultation des cliniciens, avec l'alibi d'étiquettes identificatoires qui font office de carte d'identité... ou d'identité Ha carte. L'explosion récente des dits "dysphoriques" de genre - en demande de réassignation - serait à entendre comme une tentative d'échapper aux irréductibles de la condition humaine, chez des jeunes qui, laissés clans leur toute-puissance infantile, n'ont plus les ressources pour "grandir".
Autrement dit, une manifestation bruyante, revendicatrice et inédite relevant d'une problématique ordinaire du développement de l'enfant ; là où ni les jeunes ni leurs familles ne trouvent plus dans la société les repères sur lesquels s'appuyer.
Cet ouvrage est le fruit d'une rencontre entre un psychiatre, psychanalyste, et une pédopsychiatre, le premier s'efforçant d'identifier les répercussions des mutations sociétales sur l'appareil psychique, la seconde observant dans les demandes de soin les effets parfois ravageurs de ces mutations. Tous deux s'accordent à dire qu'au nom du voeu louable de nous libérer de toute oppression ont été évincés les interdits structurants qui permettaient - et imposaient - à l'enfant de "grandir" (psychiquement, bien sûr).
Sans ces derniers, ce sont des individus non pas libres, mais prisonniers de leurs pulsions qui inondent les cabinets de consultation des cliniciens, avec l'alibi d'étiquettes identificatoires qui font office de carte d'identité... ou d'identité Ha carte. L'explosion récente des dits "dysphoriques" de genre - en demande de réassignation - serait à entendre comme une tentative d'échapper aux irréductibles de la condition humaine, chez des jeunes qui, laissés clans leur toute-puissance infantile, n'ont plus les ressources pour "grandir".
Autrement dit, une manifestation bruyante, revendicatrice et inédite relevant d'une problématique ordinaire du développement de l'enfant ; là où ni les jeunes ni leurs familles ne trouvent plus dans la société les repères sur lesquels s'appuyer.