Ces gauchers pointés du doigt. Idées reçues sur les gauchers
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- Nombre de pages149
- PrésentationBroché
- Poids0.25 kg
- Dimensions13,7 cm × 20,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-84670-448-9
- EAN9782846704489
- Date de parution09/11/2012
- CollectionIdées reçues grand angle
- ÉditeurCavalier Bleu (Editions Le)
Résumé
Pourquoi tant de questionnements surgissent-ils toujours autour d'un fait qui pourrait tout simplement être considéré comme le plus naturel du monde : être gaucher ? Dix droitiers pour un gaucher, c’est un fait que la gaucherie intrigue et suscite de nombreuses idées reçues : « Les gauchers ont le cerveau inversé », « Les gauchers excellent en maths et en sport », « Les gauchers sont maladroits », « Les gauchers deviennent dyslexiques ou bègues », « Les gauchers écrivent mal », etc.
Certes les moeurs ont beaucoup changé depuis un demi-siècle, et de nos jours, il n'y a sans doute plus guère motif pour les gauchers, ni à désolation, ni à particulière satisfaction, ni même prétexte à manifestation. Pourtant, il est encore fréquent d’entendre : « Tiens, tu es gaucher ! »
Certes les moeurs ont beaucoup changé depuis un demi-siècle, et de nos jours, il n'y a sans doute plus guère motif pour les gauchers, ni à désolation, ni à particulière satisfaction, ni même prétexte à manifestation. Pourtant, il est encore fréquent d’entendre : « Tiens, tu es gaucher ! »
Pourquoi tant de questionnements surgissent-ils toujours autour d'un fait qui pourrait tout simplement être considéré comme le plus naturel du monde : être gaucher ? Dix droitiers pour un gaucher, c’est un fait que la gaucherie intrigue et suscite de nombreuses idées reçues : « Les gauchers ont le cerveau inversé », « Les gauchers excellent en maths et en sport », « Les gauchers sont maladroits », « Les gauchers deviennent dyslexiques ou bègues », « Les gauchers écrivent mal », etc.
Certes les moeurs ont beaucoup changé depuis un demi-siècle, et de nos jours, il n'y a sans doute plus guère motif pour les gauchers, ni à désolation, ni à particulière satisfaction, ni même prétexte à manifestation. Pourtant, il est encore fréquent d’entendre : « Tiens, tu es gaucher ! »
Certes les moeurs ont beaucoup changé depuis un demi-siècle, et de nos jours, il n'y a sans doute plus guère motif pour les gauchers, ni à désolation, ni à particulière satisfaction, ni même prétexte à manifestation. Pourtant, il est encore fréquent d’entendre : « Tiens, tu es gaucher ! »