Cent reflets du monde. Petit traité de haïkus
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- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.326 kg
- Dimensions12,5 cm × 20,6 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-36308-122-3
- EAN9782363081223
- Date de parution10/11/2016
- ÉditeurArléa
Résumé
C'est aussi à cause de simples sons que, en une aube printanière, j'ai composé mon premier poème : c'était une nuit de mars ; la pluie pianotait doucement sur le toit. Soudain, au point du jour, un oiseau se mit à chanter : le printemps était revenu. François Berthier, au travers d'une centaine de haïkus commentés, nous invite à faire quelques pas sur la sente étroite et brève du paysage et de la poésie japonaise.
L'évocation des saisons, de la faune et de la flore, des dieux et des bouddhas ou de joyeuses miscellanées sont alors autant de reflets de l'impermanence du monde ou de l'insolence du Zen.
L'évocation des saisons, de la faune et de la flore, des dieux et des bouddhas ou de joyeuses miscellanées sont alors autant de reflets de l'impermanence du monde ou de l'insolence du Zen.
C'est aussi à cause de simples sons que, en une aube printanière, j'ai composé mon premier poème : c'était une nuit de mars ; la pluie pianotait doucement sur le toit. Soudain, au point du jour, un oiseau se mit à chanter : le printemps était revenu. François Berthier, au travers d'une centaine de haïkus commentés, nous invite à faire quelques pas sur la sente étroite et brève du paysage et de la poésie japonaise.
L'évocation des saisons, de la faune et de la flore, des dieux et des bouddhas ou de joyeuses miscellanées sont alors autant de reflets de l'impermanence du monde ou de l'insolence du Zen.
L'évocation des saisons, de la faune et de la flore, des dieux et des bouddhas ou de joyeuses miscellanées sont alors autant de reflets de l'impermanence du monde ou de l'insolence du Zen.