(1911-2011) Docteur en sciences physiques, philosophe, homme de lettres, romancier et peintre argentin
Censure, liberté et droit à la divergence
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages56
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.06 kg
- Dimensions10,3 cm × 17,0 cm × 0,6 cm
- ISBN979-10-96562-36-7
- EAN9791096562367
- Date de parution09/03/2023
- ÉditeurR&N
- TraducteurThomas Bourdier
Résumé
Dans ce court essai, Ernesto Sabato (qui fut rapporteur des crimes commis durant la dictature argentine de Videla), met en garde contre le dogmatisme et l'idéologie, qui, quels que soient les idéaux qu'ils servent, finissent toujours, avec leurs mensonges, leurs lieux communs et leur mauvaise foi, par brider la liberté d'expression et de création et à contribuer à l'instauration de régimes totalitaires.
Il met particulièrement en garde contre l'idée même de chasse aux sorcières, et la pente glissante à laquelle elles mènent invariablement : destruction de tout et de tous, rejet en bloc de l'Histoire et des fondements de toute culture, règne du mensonge, de l'ignorance, de l'intolérance et de la violence, qui entretient un troublant parallèle avec la cancel culture d'aujourd'hui, qui n'en est, dans le monde occidental, que le dernier avatar contemporain.
Des analyses éclairantes et percutantes, écrites avec sa fluidité et son élégance habituelles, pleines de bon sens, qui n'ont qu'un seul but : défendre la fragile personne humaine, libre et créatrice, face à ce qui veut l'asservir.
Il met particulièrement en garde contre l'idée même de chasse aux sorcières, et la pente glissante à laquelle elles mènent invariablement : destruction de tout et de tous, rejet en bloc de l'Histoire et des fondements de toute culture, règne du mensonge, de l'ignorance, de l'intolérance et de la violence, qui entretient un troublant parallèle avec la cancel culture d'aujourd'hui, qui n'en est, dans le monde occidental, que le dernier avatar contemporain.
Des analyses éclairantes et percutantes, écrites avec sa fluidité et son élégance habituelles, pleines de bon sens, qui n'ont qu'un seul but : défendre la fragile personne humaine, libre et créatrice, face à ce qui veut l'asservir.
Dans ce court essai, Ernesto Sabato (qui fut rapporteur des crimes commis durant la dictature argentine de Videla), met en garde contre le dogmatisme et l'idéologie, qui, quels que soient les idéaux qu'ils servent, finissent toujours, avec leurs mensonges, leurs lieux communs et leur mauvaise foi, par brider la liberté d'expression et de création et à contribuer à l'instauration de régimes totalitaires.
Il met particulièrement en garde contre l'idée même de chasse aux sorcières, et la pente glissante à laquelle elles mènent invariablement : destruction de tout et de tous, rejet en bloc de l'Histoire et des fondements de toute culture, règne du mensonge, de l'ignorance, de l'intolérance et de la violence, qui entretient un troublant parallèle avec la cancel culture d'aujourd'hui, qui n'en est, dans le monde occidental, que le dernier avatar contemporain.
Des analyses éclairantes et percutantes, écrites avec sa fluidité et son élégance habituelles, pleines de bon sens, qui n'ont qu'un seul but : défendre la fragile personne humaine, libre et créatrice, face à ce qui veut l'asservir.
Il met particulièrement en garde contre l'idée même de chasse aux sorcières, et la pente glissante à laquelle elles mènent invariablement : destruction de tout et de tous, rejet en bloc de l'Histoire et des fondements de toute culture, règne du mensonge, de l'ignorance, de l'intolérance et de la violence, qui entretient un troublant parallèle avec la cancel culture d'aujourd'hui, qui n'en est, dans le monde occidental, que le dernier avatar contemporain.
Des analyses éclairantes et percutantes, écrites avec sa fluidité et son élégance habituelles, pleines de bon sens, qui n'ont qu'un seul but : défendre la fragile personne humaine, libre et créatrice, face à ce qui veut l'asservir.