Vous prenez :
une profileuse ex-FBI, virée pour cause d’alcoolisme avéré et profond, devenue chasseuse de primes. Pour parodier une pub un peu ancienne : j’ai 5 secondes pour vous dire que Keye Street, c’est de la dynamite !!!
un serial killer sérieux
des meurtres très spectaculaires
un commissaire peu ou prou amoureux de la profileuse
Atlanta, ville Etatsunisienne en pleine canicule et on la sent cette chaleur !
Des personnages secondaires très présents
Mettez ces ingrédients dans ce que vous voudrez, secouez très très fortement et vous obtenez un polar, pardon, un thriller qui vous tiendra éveillée jusqu’à ce que vous ayez terminé le livre
C’est un raccourci éhonté, mais …..Malgré tous ces poncifs, Amanda Kyle Williams a réussi quelque chose qui fonctionne très bien. Est-ce la cuisson, la macération ? Je n’en sais rien, en tout cas tout est réussi. La fin est l’apothéose, le feu d’artifice. Quant au meurtrier, ce serial killer…… quelques indices sont disséminés dans l’ouvrage, mais va savoir Charles si tu ne connais pas la fin !
Keye Street, vous êtes si vivante, si honteusement humaine et déjantée que vous m’avez plu. Votre auteur a fait en sorte que nous n’ignorions rien de votre vie, de votre passé et cela vous donne une grande force. Vous faites partie d’Atlanta.
Keye Street possède sa propre agence et doit « faire bouillir la marmite ». A elle, les joies de la filature, la recherche de la vache perdue (et oui, ça lui est arrivé), les papiers à comparaître à donner en mains propres…. Des « entres-actes » dans cette quête au tueur car elle le sait, ce sera dur « Parce que le tueur me connaît, voilà pourquoi. »
Amanda Kyle Williams a nourri ce personnage qui devient humain. Ce n’est pas seulement une machine à débusquer, mais un être humain dense, riche dont nous connaissons tout sans que ce soit redondant. Ses descriptions, quelques fois trop longues pour moi qui ne connais pas les Etats-Unis, participent au roman et permettent une respiration, un temps de repos pour mieux repartir à la recherche de ce dangereux criminel. Le suspens augmente au fur et à mesure des pages tournées, le tout dans un style très vivant.
Vous prenez :
une profileuse ex-FBI, virée pour cause d’alcoolisme avéré et profond, devenue chasseuse de primes. Pour parodier une pub un peu ancienne : j’ai 5 secondes pour vous dire que Keye Street, c’est de la dynamite !!!
un serial killer sérieux
des meurtres très spectaculaires
un commissaire peu ou prou amoureux de la profileuse
Atlanta, ville Etatsunisienne en pleine canicule et on la sent cette chaleur !
Des personnages secondaires très présents
Mettez ces ingrédients dans ce que vous voudrez, secouez très très fortement et vous obtenez un polar, pardon, un thriller qui vous tiendra éveillée jusqu’à ce que vous ayez terminé le livre
C’est un raccourci éhonté, mais …..Malgré tous ces poncifs, Amanda Kyle Williams a réussi quelque chose qui fonctionne très bien. Est-ce la cuisson, la macération ? Je n’en sais rien, en tout cas tout est réussi. La fin est l’apothéose, le feu d’artifice. Quant au meurtrier, ce serial killer…… quelques indices sont disséminés dans l’ouvrage, mais va savoir Charles si tu ne connais pas la fin !
Keye Street, vous êtes si vivante, si honteusement humaine et déjantée que vous m’avez plu. Votre auteur a fait en sorte que nous n’ignorions rien de votre vie, de votre passé et cela vous donne une grande force. Vous faites partie d’Atlanta.
Keye Street possède sa propre agence et doit « faire bouillir la marmite ». A elle, les joies de la filature, la recherche de la vache perdue (et oui, ça lui est arrivé), les papiers à comparaître à donner en mains propres…. Des « entres-actes » dans cette quête au tueur car elle le sait, ce sera dur « Parce que le tueur me connaît, voilà pourquoi. »
Amanda Kyle Williams a nourri ce personnage qui devient humain. Ce n’est pas seulement une machine à débusquer, mais un être humain dense, riche dont nous connaissons tout sans que ce soit redondant. Ses descriptions, quelques fois trop longues pour moi qui ne connais pas les Etats-Unis, participent au roman et permettent une respiration, un temps de repos pour mieux repartir à la recherche de ce dangereux criminel. Le suspens augmente au fur et à mesure des pages tournées, le tout dans un style très vivant.