Celestin Freinet. Comment Susciter Le Desir D'Apprendre ? - Poche

Philippe Meirieu

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Collectif

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Philippe Meirieu et  Collectif - Celestin Freinet. Comment Susciter Le Desir D'Apprendre ?.
Parce qu'éduquer est, vraiment, le plus vieux métier du monde... Parce que, depuis toujours, les hommes se demandent comment accueillir les enfants... Lire la suite
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Résumé

Parce qu'éduquer est, vraiment, le plus vieux métier du monde... Parce que, depuis toujours, les hommes se demandent comment accueillir les enfants dans le Monde... Parce qu'il faut permettre aux enfants de transformer ce Monde et espérer qu'ils y parviennent... Parce que l'apprentissage ne se décrète pas et que chacun doit l'effectuer librement pour soi... Parce qu'il faut sans cesse inventer des moyens pour stimuler et accompagner les apprentissages... Parce que les connaissances, à elles seules, ne délivrent pas de la barbarie... Parce que la paix se construit dans l'éducation en réinventant les règles du vivre ensemble... Parce que les pédagogues du passé on été confronté aux " anormaux ", " barbares " et "sauvageons "... Parce qu'ils ne se sont jamais résignés à traiter la difficulté ou l'échec par l'exclusion...

Sommaire

    • Portrait de Célestin Freinet
    • La pédagogie de Célestin Freinet
    • Héritage de Célestin Freinet
    • Réactions d'enfants
    • Analyse de la pédagogie de Célestin Freinet
    • Freinet, l'insurgé
    • Extraits d'œuvres de Célestin Freinet
    • Entretien de Louis Legrand
    • Freinet à l'école d'aujourd'hui.

Caractéristiques

  • Date de parution
    27/03/2001
  • Editeur
  • Collection
    l'education en questions
  • ISBN
    2-84526-154-3
  • EAN
    9782845261549
  • Format
    Poche
  • Nb. de pages
    47 pages
  • Poids
    0.085 Kg
  • Dimensions
    12,0 cm × 19,0 cm × 0,5 cm

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À propos des auteurs

En effet, les jeunes années de Célestin Freinet sont celles d'un môme né en 1896 dans les Alpes-Maritimes. A l'école de son village, à Gars, il y a un seul livre de lecture pour tous dans la classe. En 1915, Freinet est mobilisé et doit interrompre ses études d'instituteur. Grièvement blessé en 1917, Freinet insiste, la paix revenue, pour prendre une classe. Mutité de guerre à 70 % - il a été blessé au poumon - il conserve de cette expérience une aversion viscérale envers l'absurdité des ordres aboyés et la discipline imposée. Dans les années 1920, Freinet observe les formes alternatives d'enseignement lors de voyages en Allemagne, en Suisse ou en URSS. Plus qu'une doctrine, cet instituteur qui reste avant tout un praticien cherche une méthode pour susciter la curiosité de ses élèves, pour les mobiliser, pour les motiver. Il introduit, par exemple, la correspondance scolaire et l'imprimerie dans la classe. Et le plaisir de fabriquer un journal amène les enfants apprendre avec enthousiasme tout ce qu'il faut savoir pour rédiger un article : l'orthographe, le style, les règles de grammaire. Mais les conservateurs supportent mal cet éducateur révolutionnaire qui dit vouloir, par ses méthodes, construire " l'école du peuple ". En 1933, menée par Maurras et l'Action française une très violente campagne aboutit au déplacement de Freinet. Le pédagogue ne se résigne pas. Et, en 1934, à Vence, il ouvre une école privée. Celle-ci le restera jusqu'en 1991, date à laquelle elle intègre l'Education nationale. Engagé dans la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale, Freinet prend ses distances avec le parti communiste au début des années 1950. Mais cela n'empêche son mouvement de " l'école moderne " de rayonner internationalement : ces méthodes servent de boussole à de nombreux enseignants qui veulent, comme lui, construire l'école du peuple. Célestin, le pédagogue disparaît en 1966.

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