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Alors que les tours du World Trade Center s'effondrent sous leurs yeux, Gabe et Lucy se rencontrent pour la première fois. Leur attirance est immédiate, comme une force irrésistible. Ce n'est pourtant qu'un an plus tard qu'ils se revoient et plongent cette fois-ci dans un amour qui dépasse tout ce qu'ils ont connu. Ils vivent, respirent, pensent à deux. Mais l'intensité de leur relation les amène aussi à s'interroger sur d'autres désirs profonds : tous deux veulent que leur vie ait un sens, une résonance, une valeur à la hauteur de leurs sentiments.
Face à cette exigence, Lucy et Gabe vont devoir faire des choix, prendre des risques, avec l'espoir d'accorder leurs rêves à la réalité. Alors qu'ils assouvissent chacun leurs ambitions, leurs vies se croisent puis se perdent pendant près de treize années, jusqu'à ce qu'un nouvel événement les confronte à cette question : quelle place souhaitent-ils véritablement accorder à leur amour ?
Ce qui reste de nous
Gabe et Lucy se rencontrent à l'université, le 11 septembre 2001. Il ne se passe rien jusqu'à leurs retrouvailles quelques mois plus tard. À partir de là, ils ne se quitteront plus et vivront une histoire passionnelle, jusqu'à ce que Gabe saisisse une opportunité professionnelle à l'autre bout du monde, ce qui marque la fin de leur relation. La jeune femme réussit à se reconstruire et fonde une famille avec un autre homme et pourtant, Gabe est toujours dans ses pensées. Et puis il refait son apparition dans sa vie...
Ce roman ne paie pas de mine, le style est simple (parfois peut-être un peu trop ?) mais ce qui nous capte, c'est ce lien si fort entre Gabe et Lucy et cette réflexion : que fait-on de ses sentiments quand l'histoire est terminée mais pas l'amour ?