En restituant leurs peines et leurs joies, Mosab Abu Toha donne chair aux habitants de Gaza. A Gaza, respirer est une épreuve, sourire : une opération de chirurgie esthétique qui déforme nos visages. Se lever le matin, c'est tenter de survivre un jour de plus, c'est revenir d'entre les morts. " Mosab Abu Toha donne chair à une terre en guerre, et à sa beauté insoupçonnée. Sa plume concrète, fulgurante, raconte la violence qui s'infiltre dans tous les recoins de l'existence.
" France Culture " Un prosaïsme sensuel où les effluves de la mer, des orangers et du pain sorti du four se mêlent à ceux du sang et de la poussière. " Le Nouvel Obs " Rarement la poésie palestinienne d'aujourd'hui est parvenue avec autant de puissance évocatrice à redonner vie aux espaces, à contenir l'horreur de la guerre, à éclairer les séquelles qui lacèrent les corps et les territoires. " En attendant Nadeau
En restituant leurs peines et leurs joies, Mosab Abu Toha donne chair aux habitants de Gaza. A Gaza, respirer est une épreuve, sourire : une opération de chirurgie esthétique qui déforme nos visages. Se lever le matin, c'est tenter de survivre un jour de plus, c'est revenir d'entre les morts. " Mosab Abu Toha donne chair à une terre en guerre, et à sa beauté insoupçonnée. Sa plume concrète, fulgurante, raconte la violence qui s'infiltre dans tous les recoins de l'existence.
" France Culture " Un prosaïsme sensuel où les effluves de la mer, des orangers et du pain sorti du four se mêlent à ceux du sang et de la poussière. " Le Nouvel Obs " Rarement la poésie palestinienne d'aujourd'hui est parvenue avec autant de puissance évocatrice à redonner vie aux espaces, à contenir l'horreur de la guerre, à éclairer les séquelles qui lacèrent les corps et les territoires. " En attendant Nadeau