Majella, elle a des manies, la routine vissée au corps ; au Salé, pané, frit ! où elle bosse tous les soirs, c'est toujours les mêmes trombines qu'elle croise, les habitués de c'bout d'quartier de l'Irlande prolétaire, Majella elle n'aime pas grand-chose mais elle aime regarder des DVD de Dallas, c'est son réconfort, sa bouée, sa respiration.
Majella c'est une chouette fille, un peu larguée, pas trop sûre d'elle, avec de la famille qui a fricoté avec L'IRA. Des morts et des partis plein l'existence et une mère aux abonnés absents, mauvaise soûlarde malheureuse.
Majella, son histoire c’est tout ça, c’est tout simple, de l’ordinaire dans la chronique, des coups de mou et des petites épiphanies.
Elle n’aime peut-être pas grand-chose, mais nous on l’aime Majella parce qu’elle est touchante, hyper touchante, un p’tit bout d’femme attachant qu’on quitte avec regret parce qu’on aimerait bien continuer un peu avec elle.
Majella, elle a des manies, la routine vissée au corps ; au Salé, pané, frit ! où elle bosse tous les soirs, c'est toujours les mêmes trombines qu'elle croise, les habitués de c'bout d'quartier de l'Irlande prolétaire, Majella elle n'aime pas grand-chose mais elle aime regarder des DVD de Dallas, c'est son réconfort, sa bouée, sa respiration.
Majella c'est une chouette fille, un peu larguée, pas trop sûre d'elle, avec de la famille qui a fricoté avec L'IRA. Des morts et des partis plein l'existence et une mère aux abonnés absents, mauvaise soûlarde malheureuse.
Majella, son histoire c’est tout ça, c’est tout simple, de l’ordinaire dans la chronique, des coups de mou et des petites épiphanies.
Elle n’aime peut-être pas grand-chose, mais nous on l’aime Majella parce qu’elle est touchante, hyper touchante, un p’tit bout d’femme attachant qu’on quitte avec regret parce qu’on aimerait bien continuer un peu avec elle.