Ce que le siècle m'a dit. Mémoires
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- Nombre de pages950
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.575 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 3,3 cm
- ISBN978-2-01-279407-8
- EAN9782012794078
- Date de parution04/02/2009
- CollectionPluriel
- ÉditeurHachette Littératures
Résumé
Fille d'un émigré russe ami de Georges Clemenceau, Dominique Desanti a côtoyé très tôt l'intelligentsia de 1a France d'avant et d'après guerre. Elle a fréquenté Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir et s'est engagée dans la Résistance dès les premières heures. Puis, après la guerre, elle succombe avec le philosophe Jean-Toussaint Desanti à une passion déchirante, aveugle et destructrice : le communisme au temps du stalinisme. Viendra ensuite le temps de la rupture, mais pas celui de la fin des engagements : la décolonisation, le féminisme la verront en première ligne. Durant toutes ces années, elle côtoie Malraux, Picasso, Eluard, Aragon, Joliot-Curie, Duras, Lacan, Foucault, Althusser. Ce livre est moins un témoignage nostalgique du passé, que le récit d'une vie rebelle à l'ordre injuste des choses. Dominique Desanti conclut : " Pour la vieille dame "indigne" que je suis, rester soi, c'est ne jamais se résigner. "
Fille d'un émigré russe ami de Georges Clemenceau, Dominique Desanti a côtoyé très tôt l'intelligentsia de 1a France d'avant et d'après guerre. Elle a fréquenté Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir et s'est engagée dans la Résistance dès les premières heures. Puis, après la guerre, elle succombe avec le philosophe Jean-Toussaint Desanti à une passion déchirante, aveugle et destructrice : le communisme au temps du stalinisme. Viendra ensuite le temps de la rupture, mais pas celui de la fin des engagements : la décolonisation, le féminisme la verront en première ligne. Durant toutes ces années, elle côtoie Malraux, Picasso, Eluard, Aragon, Joliot-Curie, Duras, Lacan, Foucault, Althusser. Ce livre est moins un témoignage nostalgique du passé, que le récit d'une vie rebelle à l'ordre injuste des choses. Dominique Desanti conclut : " Pour la vieille dame "indigne" que je suis, rester soi, c'est ne jamais se résigner. "