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- Nombre de pages317
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.394 kg
- Dimensions13,7 cm × 21,6 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-221-12708-7
- EAN9782221127087
- Date de parution03/01/2013
- ÉditeurRobert Laffont
Résumé
Gardienne et témoin de l'histoire familiale - une histoire de femmes, de soeurs, de mères -, Blanche va en retisser tous les fils pour tenter de réparer le lien brisé avec sa propre fille, Violette... Un matin, très tôt. Le téléphone sonne. Blanche n'aime pas ça : les coups de fil au petit matin n'annoncent jamais rien de bon. Cette fois, pourtant, c'est une bonne nouvelle : Violette a accouché dans la nuit d'un petit garçon.
Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte. Et puis un garçon, le premier au bout de cette lignée de filles, quelle histoire... Dans le train qui la mène de Toulouse vers Paris, le trac au coeur, Blanche relit les carnets de moleskine destinés à Violette où, remontant le temps, elle a essayé de se souvenir de tout, tout ce qu'elle peut lui dire d'elles. Mais Violette l'attend-elle encore au bout de ce chemin à la fois heureux et cabossé ? Portés par une écriture ultrasensible, où sous l'apparente douceur du cocon familial gronde la violence des sentiments, on est entraînés dans l'histoire de Blanche, celle de quatre générations de femmes, des années 1950 à nos jours.
De la minuscule bicoque d'un petit village des Pyrénées aux ateliers de la maison Balaguère, haute couture, à Toulouse, Blanche recrée ce petit monde que les accidents de la vie, et certains choix, ont rendu presque exclusivement féminin. Il y a d'abord Anna, la grand-mère, qui a élevé ses trois petites-filles, Angèle, Justine et Babé, tôt privées de mère. Angèle, la mère de Blanche, la magnifique, brillante et si fragile Angèle, journaliste à La Dépêche du Midi ; Justine l'indépendante, la féministe, la couturière aux doigts de fée qui, partie de rien, va créer sa propre maison et devenir la coqueluche des élégantes Toulousaines ; la douce et vaillante Babé, pilier de cette famille bien peu conventionnelle dans laquelle grandit Blanche.
Sans père (il est mort avant sa naissance) mais avec trois mères, avant de devenir, à son tour, la mère sans homme de Violette... Chaleureux et coloré comme une promenade dans la Ville rose (ou comme une collection de Justine...), le roman de cette tribu de femmes émancipées avant l'heure explore avec autant de tendresse que d'acuité toute la complexité des liens maternels.
Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte. Et puis un garçon, le premier au bout de cette lignée de filles, quelle histoire... Dans le train qui la mène de Toulouse vers Paris, le trac au coeur, Blanche relit les carnets de moleskine destinés à Violette où, remontant le temps, elle a essayé de se souvenir de tout, tout ce qu'elle peut lui dire d'elles. Mais Violette l'attend-elle encore au bout de ce chemin à la fois heureux et cabossé ? Portés par une écriture ultrasensible, où sous l'apparente douceur du cocon familial gronde la violence des sentiments, on est entraînés dans l'histoire de Blanche, celle de quatre générations de femmes, des années 1950 à nos jours.
De la minuscule bicoque d'un petit village des Pyrénées aux ateliers de la maison Balaguère, haute couture, à Toulouse, Blanche recrée ce petit monde que les accidents de la vie, et certains choix, ont rendu presque exclusivement féminin. Il y a d'abord Anna, la grand-mère, qui a élevé ses trois petites-filles, Angèle, Justine et Babé, tôt privées de mère. Angèle, la mère de Blanche, la magnifique, brillante et si fragile Angèle, journaliste à La Dépêche du Midi ; Justine l'indépendante, la féministe, la couturière aux doigts de fée qui, partie de rien, va créer sa propre maison et devenir la coqueluche des élégantes Toulousaines ; la douce et vaillante Babé, pilier de cette famille bien peu conventionnelle dans laquelle grandit Blanche.
Sans père (il est mort avant sa naissance) mais avec trois mères, avant de devenir, à son tour, la mère sans homme de Violette... Chaleureux et coloré comme une promenade dans la Ville rose (ou comme une collection de Justine...), le roman de cette tribu de femmes émancipées avant l'heure explore avec autant de tendresse que d'acuité toute la complexité des liens maternels.
Gardienne et témoin de l'histoire familiale - une histoire de femmes, de soeurs, de mères -, Blanche va en retisser tous les fils pour tenter de réparer le lien brisé avec sa propre fille, Violette... Un matin, très tôt. Le téléphone sonne. Blanche n'aime pas ça : les coups de fil au petit matin n'annoncent jamais rien de bon. Cette fois, pourtant, c'est une bonne nouvelle : Violette a accouché dans la nuit d'un petit garçon.
Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte. Et puis un garçon, le premier au bout de cette lignée de filles, quelle histoire... Dans le train qui la mène de Toulouse vers Paris, le trac au coeur, Blanche relit les carnets de moleskine destinés à Violette où, remontant le temps, elle a essayé de se souvenir de tout, tout ce qu'elle peut lui dire d'elles. Mais Violette l'attend-elle encore au bout de ce chemin à la fois heureux et cabossé ? Portés par une écriture ultrasensible, où sous l'apparente douceur du cocon familial gronde la violence des sentiments, on est entraînés dans l'histoire de Blanche, celle de quatre générations de femmes, des années 1950 à nos jours.
De la minuscule bicoque d'un petit village des Pyrénées aux ateliers de la maison Balaguère, haute couture, à Toulouse, Blanche recrée ce petit monde que les accidents de la vie, et certains choix, ont rendu presque exclusivement féminin. Il y a d'abord Anna, la grand-mère, qui a élevé ses trois petites-filles, Angèle, Justine et Babé, tôt privées de mère. Angèle, la mère de Blanche, la magnifique, brillante et si fragile Angèle, journaliste à La Dépêche du Midi ; Justine l'indépendante, la féministe, la couturière aux doigts de fée qui, partie de rien, va créer sa propre maison et devenir la coqueluche des élégantes Toulousaines ; la douce et vaillante Babé, pilier de cette famille bien peu conventionnelle dans laquelle grandit Blanche.
Sans père (il est mort avant sa naissance) mais avec trois mères, avant de devenir, à son tour, la mère sans homme de Violette... Chaleureux et coloré comme une promenade dans la Ville rose (ou comme une collection de Justine...), le roman de cette tribu de femmes émancipées avant l'heure explore avec autant de tendresse que d'acuité toute la complexité des liens maternels.
Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte. Et puis un garçon, le premier au bout de cette lignée de filles, quelle histoire... Dans le train qui la mène de Toulouse vers Paris, le trac au coeur, Blanche relit les carnets de moleskine destinés à Violette où, remontant le temps, elle a essayé de se souvenir de tout, tout ce qu'elle peut lui dire d'elles. Mais Violette l'attend-elle encore au bout de ce chemin à la fois heureux et cabossé ? Portés par une écriture ultrasensible, où sous l'apparente douceur du cocon familial gronde la violence des sentiments, on est entraînés dans l'histoire de Blanche, celle de quatre générations de femmes, des années 1950 à nos jours.
De la minuscule bicoque d'un petit village des Pyrénées aux ateliers de la maison Balaguère, haute couture, à Toulouse, Blanche recrée ce petit monde que les accidents de la vie, et certains choix, ont rendu presque exclusivement féminin. Il y a d'abord Anna, la grand-mère, qui a élevé ses trois petites-filles, Angèle, Justine et Babé, tôt privées de mère. Angèle, la mère de Blanche, la magnifique, brillante et si fragile Angèle, journaliste à La Dépêche du Midi ; Justine l'indépendante, la féministe, la couturière aux doigts de fée qui, partie de rien, va créer sa propre maison et devenir la coqueluche des élégantes Toulousaines ; la douce et vaillante Babé, pilier de cette famille bien peu conventionnelle dans laquelle grandit Blanche.
Sans père (il est mort avant sa naissance) mais avec trois mères, avant de devenir, à son tour, la mère sans homme de Violette... Chaleureux et coloré comme une promenade dans la Ville rose (ou comme une collection de Justine...), le roman de cette tribu de femmes émancipées avant l'heure explore avec autant de tendresse que d'acuité toute la complexité des liens maternels.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires
Sylvie Thomasson— Decitre Part-Dieu
4/5
“ histoire de femmes ”
Quelle jolie histoire que voilà, pleine d'amour et de tendresse malgré la vie pas toujours bonne avec elles.
Blanche, la narratrice raconte la vie des sa mère et de ses tantes, dans de petits carnets Moleskine.Ceci pour ne pas perdre le fil de sa relation, pourtant tendue, avec sa fille Violette.Celle-ci vient d'avoir, pour une fois dans cette famille de filles, un petit garçon.
C'est une histoire à la fois émouvante et drôle et aussi parfois triste; mais, toujours, ces femmes s'en sortent et malgré tout on a envie de vivre dans un cocon pareil, doux ,chaud et rassurant.
Quelle jolie histoire que voilà, pleine d'amour et de tendresse malgré la vie pas toujours bonne avec elles.
Blanche, la narratrice raconte la vie des sa mère et de ses tantes, dans de petits carnets Moleskine.Ceci pour ne pas perdre le fil de sa relation, pourtant tendue, avec sa fille Violette.Celle-ci vient d'avoir, pour une fois dans cette famille de filles, un petit garçon.
C'est une histoire à la fois émouvante et drôle et aussi parfois triste; mais, toujours, ces femmes s'en sortent et malgré tout on a envie de vivre dans un cocon pareil, doux ,chaud et rassurant.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
3.9/5
“ Le début d'une belle saga ”
Tout commence par un coup de téléphone. Blanche découvre que sa fille attendait un bébé et qu’il vient de naître. Sa fille, Violette, qui a coupé les ponts avec elle depuis longtemps. Blanche monte donc dans le train de Toulouse pour Paris. Elle sait que l’accueil y sera glacial puisque c’est son gendre qui a pris le risque du coup de téléphone, mais elle sait que c’est le moment d’expliquer à sa fille.
Blanche ne part pas seule, elle embarque avec elle le lecteur et les carnets dans lesquels elle a écrit 50 ans de sa vie, de leur vie à elles.
Elles, ce sont trois fillettes cabossées par la vie et malmenées par un destin qui leur a donné des parents aux abonnés absents. Recueillies par leur grand-mère qui leur permettra de construire une enfance malgré tout heureuse et remplie d’amour, elles se lancent dans la vie comme elles l’ont commencé, à trois, sans jamais se quitter.
C’est dans ce pluriel de femmes, entre joies, douleurs, combat féministe et entreprise familiale, que naîtra et grandira Blanche. Un gynécée au sein duquel les hommes n’ont pas ou peu de place, par fatalité souvent, par choix parfois.
Anne Icart livre une saga familiale passionnante et pleine de sensibilité. On s’attache vite à ces personnages hauts en couleurs, évoluant dans une société au sein de laquelle les choix étaient plus dictés par l’obligation et la convenance que par le coeur. L’écriture est fluide et le récit bien équilibré, sans jamais tomber dans le pathos et le féminisme exacerbé.
Une belle découverte, donc. La saga se poursuit avec "Si j’ai bonne mémoire" et "Le temps des lilas" .
Tout commence par un coup de téléphone. Blanche découvre que sa fille attendait un bébé et qu’il vient de naître. Sa fille, Violette, qui a coupé les ponts avec elle depuis longtemps. Blanche monte donc dans le train de Toulouse pour Paris. Elle sait que l’accueil y sera glacial puisque c’est son gendre qui a pris le risque du coup de téléphone, mais elle sait que c’est le moment d’expliquer à sa fille.
Blanche ne part pas seule, elle embarque avec elle le lecteur et les carnets dans lesquels elle a écrit 50 ans de sa vie, de leur vie à elles.
Elles, ce sont trois fillettes cabossées par la vie et malmenées par un destin qui leur a donné des parents aux abonnés absents. Recueillies par leur grand-mère qui leur permettra de construire une enfance malgré tout heureuse et remplie d’amour, elles se lancent dans la vie comme elles l’ont commencé, à trois, sans jamais se quitter.
C’est dans ce pluriel de femmes, entre joies, douleurs, combat féministe et entreprise familiale, que naîtra et grandira Blanche. Un gynécée au sein duquel les hommes n’ont pas ou peu de place, par fatalité souvent, par choix parfois.
Anne Icart livre une saga familiale passionnante et pleine de sensibilité. On s’attache vite à ces personnages hauts en couleurs, évoluant dans une société au sein de laquelle les choix étaient plus dictés par l’obligation et la convenance que par le coeur. L’écriture est fluide et le récit bien équilibré, sans jamais tomber dans le pathos et le féminisme exacerbé.
Une belle découverte, donc. La saga se poursuit avec "Si j’ai bonne mémoire" et "Le temps des lilas" .
4/5
“ Histoire touchante ”
Histoire de plusieurs générations de femmes où les hommes disparaissent toujours trop tôt.
Blanche revient sur la vie de sa mère et ses tantes (ses autres mamans) afin d'expliquer son histoire à sa propre fille Violette et ainsi éviter les tabous, les non-dits.
A la lecture de ce roman, on ressent beaucoup d'émotion, d'amour et de tendresse car toutes ces femmes ont vécu des drames terribles : mort ou abandon d'un être proche (père, mère, mari)
Elles ont été réunies dans l'enfance et vont restées soudées et unies dans toutes ces étapes car leur personnalités bien différentes vont leur permettre de se compléter et d'affronter ces évènements.
Au début, je reconnais qu'il peut être difficile de s'y retrouver car il y a beaucoup de personnages mais chacun à sa place et son importance.
J'ai dévoré ce livre, l'histoire est touchante et l'écriture est fluide et légère
Histoire de plusieurs générations de femmes où les hommes disparaissent toujours trop tôt.
Blanche revient sur la vie de sa mère et ses tantes (ses autres mamans) afin d'expliquer son histoire à sa propre fille Violette et ainsi éviter les tabous, les non-dits.
A la lecture de ce roman, on ressent beaucoup d'émotion, d'amour et de tendresse car toutes ces femmes ont vécu des drames terribles : mort ou abandon d'un être proche (père, mère, mari)
Elles ont été réunies dans l'enfance et vont restées soudées et unies dans toutes ces étapes car leur personnalités bien différentes vont leur permettre de se compléter et d'affronter ces évènements.
Au début, je reconnais qu'il peut être difficile de s'y retrouver car il y a beaucoup de personnages mais chacun à sa place et son importance.
J'ai dévoré ce livre, l'histoire est touchante et l'écriture est fluide et légère
4/5
“ Lignée de femmes ”
Cet ouvrage touchera sans doute plus les lectrices que les lecteurs. Ce roman c'est l'histoire d'une famille où les hommes ne font que passer. Pourtant c'est la naissance d'un petit garçon, Gabriel, qui va pousser sa grand-mère Blanche, à revenir sur son enfance, sur ses choix et sur ceux de ses tantes et de sa mère ( Babé, Justine et Angèle ). Une histoire pleine de sensibilité, d'amour, de tendresse, de drames dans le milieu de la haute couture et dans une société où naît le mouvement de libération des femmes avec entre autres les combats de Simone de Beauvoir et de Gisèle Halimi. Un roman où les choix de chacune vont influer sur le destin des autres. Une belle histoire de famille où l'amour et les liens indéfectibles entre ces femmes font de ce roman un très joli moment de lecture.
Cet ouvrage touchera sans doute plus les lectrices que les lecteurs. Ce roman c'est l'histoire d'une famille où les hommes ne font que passer. Pourtant c'est la naissance d'un petit garçon, Gabriel, qui va pousser sa grand-mère Blanche, à revenir sur son enfance, sur ses choix et sur ceux de ses tantes et de sa mère ( Babé, Justine et Angèle ). Une histoire pleine de sensibilité, d'amour, de tendresse, de drames dans le milieu de la haute couture et dans une société où naît le mouvement de libération des femmes avec entre autres les combats de Simone de Beauvoir et de Gisèle Halimi. Un roman où les choix de chacune vont influer sur le destin des autres. Une belle histoire de famille où l'amour et les liens indéfectibles entre ces femmes font de ce roman un très joli moment de lecture.
A propos de Anne Icart
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