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Ce qu'il reste de l'homme selon Giacometti

Par : Aurélia Cassigneul-Ojeda
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  • Nombre de pages124
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.148 kg
  • Dimensions13,8 cm × 19,7 cm × 1,3 cm
  • ISBN979-10-312-0656-1
  • EAN9791031206561
  • Date de parution08/01/2026
  • CollectionLe roman d'un chef d'oeuvre
  • ÉditeurAteliers Henry Dougier

Résumé

Roman multidimensionnel autour de l'oeuvre majeure de Giacometti : L'homme qui marche. L'auteure explore la psychologie de l'artiste et interprète la symbolique de cette sculpture pour raconter l'histoire de sa création. "Je marche. Infiniment je marche. Je m'appelle Raoul, Jean ou Paul, je n'ai pas de nom et j'ai tous les âges. Enjambant le temps, je suis cette silhouette blanche et omnisciente qu'Alberto, sa vie durant, a portée en lui : genèse lente et hésitante, inépuisable obsession".
Dans le Paris de l'après-guerre, avide de penser un monde nouveau, un homme, reclus dans l'atelier miséreux qui lui sert de logis, façonne, taille, retaille, creuse, lisse, avec obstination et sans relâche. Le soir venu, il détruit tout et recrée ses oeuvres dans une quête perpétuelle de vérité artistique. Sous ses doigts se dressent bientôt de nouvelles figures, filaires et diaphanes, au bord de l'abstraction.
Puis un homme, fendant l'espace de sa minceur, qui, les pieds ancrés au sol, avance. Alberto Giacometti vient de créer L'Homme qui marche , son oeuvre majeure. Ecrit sous forme poétique et introspective, l'auteure donne vie à l'atelier de l'artiste et à L'Homme qui marche , figure longiligne, meurtrie et dépouillée de tout, qui avance malgré tout. Symbole universel de la condition humaine confrontée aux traumatismes de la guerre, cette oeuvre incarne la fragilité mais aussi la persévérance et l'espoir d'un monde en reconstruction.
Roman multidimensionnel autour de l'oeuvre majeure de Giacometti : L'homme qui marche. L'auteure explore la psychologie de l'artiste et interprète la symbolique de cette sculpture pour raconter l'histoire de sa création. "Je marche. Infiniment je marche. Je m'appelle Raoul, Jean ou Paul, je n'ai pas de nom et j'ai tous les âges. Enjambant le temps, je suis cette silhouette blanche et omnisciente qu'Alberto, sa vie durant, a portée en lui : genèse lente et hésitante, inépuisable obsession".
Dans le Paris de l'après-guerre, avide de penser un monde nouveau, un homme, reclus dans l'atelier miséreux qui lui sert de logis, façonne, taille, retaille, creuse, lisse, avec obstination et sans relâche. Le soir venu, il détruit tout et recrée ses oeuvres dans une quête perpétuelle de vérité artistique. Sous ses doigts se dressent bientôt de nouvelles figures, filaires et diaphanes, au bord de l'abstraction.
Puis un homme, fendant l'espace de sa minceur, qui, les pieds ancrés au sol, avance. Alberto Giacometti vient de créer L'Homme qui marche , son oeuvre majeure. Ecrit sous forme poétique et introspective, l'auteure donne vie à l'atelier de l'artiste et à L'Homme qui marche , figure longiligne, meurtrie et dépouillée de tout, qui avance malgré tout. Symbole universel de la condition humaine confrontée aux traumatismes de la guerre, cette oeuvre incarne la fragilité mais aussi la persévérance et l'espoir d'un monde en reconstruction.
Eliodora
Aurélia Cassigneul-Ojeda
E-book
7,99 €