Ce matin la mer est calme. Journal d'un marin-sauveteur en Méditerranée
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages195
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.17 kg
- Dimensions11,2 cm × 18,1 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-490205-05-9
- EAN9782490205059
- Date de parution27/11/2020
- ÉditeurRue des Etaques
Résumé
A travers le récit de ses expériences du sauvetage en Méditerranée, Antonin Richard embarque le lecteur là où la démagogie des politiques européennes fusionne avec la police des régimes dictatoriaux. Là, aussi, où celles et ceux qui font vivre la camaraderie marine apprivoisent quotidiennement la mer et s'efforcent de laisser aux personnes qui migrent le droit de se donner un avenir. Ceux qui instaurent la fermeture des frontières ne les voient pas, ces morts.
Ce ne sont que des chiffres. Tout au plus les déplorent-ils, parfois, rejetant la faute sur les passeurs. Comme deux complices devant un juge, ils renvoient la balle à ceux qui accomplissent les basses besognes.
Ce ne sont que des chiffres. Tout au plus les déplorent-ils, parfois, rejetant la faute sur les passeurs. Comme deux complices devant un juge, ils renvoient la balle à ceux qui accomplissent les basses besognes.
A travers le récit de ses expériences du sauvetage en Méditerranée, Antonin Richard embarque le lecteur là où la démagogie des politiques européennes fusionne avec la police des régimes dictatoriaux. Là, aussi, où celles et ceux qui font vivre la camaraderie marine apprivoisent quotidiennement la mer et s'efforcent de laisser aux personnes qui migrent le droit de se donner un avenir. Ceux qui instaurent la fermeture des frontières ne les voient pas, ces morts.
Ce ne sont que des chiffres. Tout au plus les déplorent-ils, parfois, rejetant la faute sur les passeurs. Comme deux complices devant un juge, ils renvoient la balle à ceux qui accomplissent les basses besognes.
Ce ne sont que des chiffres. Tout au plus les déplorent-ils, parfois, rejetant la faute sur les passeurs. Comme deux complices devant un juge, ils renvoient la balle à ceux qui accomplissent les basses besognes.