Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Inlassablement, Kléber livrait la même bataille. Il ne savait jamais très bien comment il s'y était engagé. Mais cela ne changeait rien. Sans qu'il...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
Inlassablement, Kléber livrait la même bataille. Il ne savait jamais très bien comment il s'y était engagé. Mais cela ne changeait rien. Sans qu'il put s'expliquer pourquoi, il se retrouvait toujours seul, à se battre à la fois pour les vivants et pour les morts, pour le visible et l'invisible. A ses yeux, les morts étaient aussi réels que les vivants, surtout s'ils étaient morts injustement.
" Une étrange fleur poussée sur un absolu désespoir ". Jean-Paul Morel (VSD)
" Ca oscille entre Céline et Eluard, Shakespeare et Verlaine. C'est beau, surréel ".
Monique Lefèvre (Télérama)
" Un roman fou, un roman recherche, un roman douleur, un roman d'amour, un vrai roman ".
Jean-Pierre Mogui (Le Figaro Littéraire).
" Cauchemar dans la rue abolit sans complexe les frontières entre le visible et l'invisible et se présente comme une sorte de conte de fées d'une absolue noirceur, propose d'inquiétantes variations sur le thème éminemment surréaliste de l'amour fou triomphant de la mort ". Bernard le Saux (L'événement du Jeudi).
" Une œuvre de démesure, une folle danse au bord du précipice... polar mystique, conte de fées noir ? Inclassable comme son auteur ". Bernard Audusse (Le Monde).