Catholicisme, religieuses et société. Le temps des bonnes soeurs (XIXe siècle)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 17 décembreCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 17 décembre
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages217
- PrésentationBroché
- Poids0.345 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-220-06273-0
- EAN9782220062730
- Date de parution05/01/2011
- CollectionPages d'Histoire
- ÉditeurDDB
Résumé
Elles ont été emblématiques, ces bonnes soeurs portant longs habits couvrants et coiffes empesées, d'un catholicisme au féminin qui se vivait en plein siècle. Mais personne aujourd'hui n'en revendique l'héritage. Ni les féministes qui ont vu en elles un obstacle à l'émancipation des femmes ; ni leurs familles religieuses qui sont mortes ou qui vivent ailleurs et autrement ; ni leur pays qui oublie combien elles l'ont servi de par le monde.
Ces deux cent mille religieuses du XIXe siècle gagnent pourtant à être connues. Par équité. Par désir de comprendre pourquoi elles ont agi ainsi au service de la société. Car elles furent, un temps, l'Eglise catholique, moderne à sa manière, soignant les malades à l'hôpital ou à domicile, tenant des pensionnats et mettant en place le réseau public d'écoles communales de filles. Et les femmes au travail n'auraient point trouvé sans elles la voie de leur émancipation...
Les utopies fondatrices dont elles étaient porteuses ont su triompher des pesanteurs de la société : Anne-Marie Javouhey, pour émanciper les esclaves, Jeanne Jugan, pour offrir un foyer aux personnes âgées... Dans un monde contemporain toujours brutal, ces figures d'hier qui s'adressent encore à notre conscience, sont plus que jamais actuelles.
Ces deux cent mille religieuses du XIXe siècle gagnent pourtant à être connues. Par équité. Par désir de comprendre pourquoi elles ont agi ainsi au service de la société. Car elles furent, un temps, l'Eglise catholique, moderne à sa manière, soignant les malades à l'hôpital ou à domicile, tenant des pensionnats et mettant en place le réseau public d'écoles communales de filles. Et les femmes au travail n'auraient point trouvé sans elles la voie de leur émancipation...
Les utopies fondatrices dont elles étaient porteuses ont su triompher des pesanteurs de la société : Anne-Marie Javouhey, pour émanciper les esclaves, Jeanne Jugan, pour offrir un foyer aux personnes âgées... Dans un monde contemporain toujours brutal, ces figures d'hier qui s'adressent encore à notre conscience, sont plus que jamais actuelles.
Elles ont été emblématiques, ces bonnes soeurs portant longs habits couvrants et coiffes empesées, d'un catholicisme au féminin qui se vivait en plein siècle. Mais personne aujourd'hui n'en revendique l'héritage. Ni les féministes qui ont vu en elles un obstacle à l'émancipation des femmes ; ni leurs familles religieuses qui sont mortes ou qui vivent ailleurs et autrement ; ni leur pays qui oublie combien elles l'ont servi de par le monde.
Ces deux cent mille religieuses du XIXe siècle gagnent pourtant à être connues. Par équité. Par désir de comprendre pourquoi elles ont agi ainsi au service de la société. Car elles furent, un temps, l'Eglise catholique, moderne à sa manière, soignant les malades à l'hôpital ou à domicile, tenant des pensionnats et mettant en place le réseau public d'écoles communales de filles. Et les femmes au travail n'auraient point trouvé sans elles la voie de leur émancipation...
Les utopies fondatrices dont elles étaient porteuses ont su triompher des pesanteurs de la société : Anne-Marie Javouhey, pour émanciper les esclaves, Jeanne Jugan, pour offrir un foyer aux personnes âgées... Dans un monde contemporain toujours brutal, ces figures d'hier qui s'adressent encore à notre conscience, sont plus que jamais actuelles.
Ces deux cent mille religieuses du XIXe siècle gagnent pourtant à être connues. Par équité. Par désir de comprendre pourquoi elles ont agi ainsi au service de la société. Car elles furent, un temps, l'Eglise catholique, moderne à sa manière, soignant les malades à l'hôpital ou à domicile, tenant des pensionnats et mettant en place le réseau public d'écoles communales de filles. Et les femmes au travail n'auraient point trouvé sans elles la voie de leur émancipation...
Les utopies fondatrices dont elles étaient porteuses ont su triompher des pesanteurs de la société : Anne-Marie Javouhey, pour émanciper les esclaves, Jeanne Jugan, pour offrir un foyer aux personnes âgées... Dans un monde contemporain toujours brutal, ces figures d'hier qui s'adressent encore à notre conscience, sont plus que jamais actuelles.














