Mes Très Chers Vous,
Si vous aimez les romans qui dépaysent et courts, CAT 215 d'Antonin Varenne est pour vous !
122 pages, et encore, la police est grosse, il pourrait en faire encore moins.
Ce n’est pas un handicap, bien au contraire, cela permet à Varenne de faire un livre oppressant, un huis-clos en plein air, mais comme c’est en forêt primaire, crois-moi, que tu as vite une sensation d’enfermement.
En Guyane, le trafic d’or est source d’économie pour beaucoup de monde, que ce soit des carrières légales, ou de l’orpaillage clandestin.
En vivre est source de danger, et du coup, s’occuper de faire convoyer une Caterpillar 215, n’est pas mince aventure… surtout avec un ancien légionnaire et un mystérieux brésilien, deux sortes de têtes brûlées à qui il ne vaut mieux pas avoir affaire.
Mais la nature peut être parfois hostile et bien plus dangereuse que l’homme…
Dépaysant, sympathique, un petit roman à lire pour découvrir, si ce n’est déjà fait, la plume d’Antonin Varenne.
Stanislas Petrosky.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/07/21/36577067.html
Mes Très Chers Vous,
Si vous aimez les romans qui dépaysent et courts, CAT 215 d'Antonin Varenne est pour vous !
122 pages, et encore, la police est grosse, il pourrait en faire encore moins.
Ce n’est pas un handicap, bien au contraire, cela permet à Varenne de faire un livre oppressant, un huis-clos en plein air, mais comme c’est en forêt primaire, crois-moi, que tu as vite une sensation d’enfermement.
En Guyane, le trafic d’or est source d’économie pour beaucoup de monde, que ce soit des carrières légales, ou de l’orpaillage clandestin.
En vivre est source de danger, et du coup, s’occuper de faire convoyer une Caterpillar 215, n’est pas mince aventure… surtout avec un ancien légionnaire et un mystérieux brésilien, deux sortes de têtes brûlées à qui il ne vaut mieux pas avoir affaire.
Mais la nature peut être parfois hostile et bien plus dangereuse que l’homme…
Dépaysant, sympathique, un petit roman à lire pour découvrir, si ce n’est déjà fait, la plume d’Antonin Varenne.
Stanislas Petrosky.
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2018/07/21/36577067.html