Francoise Bahoken est chercheuse en géographie et en cartographie à l'Université Gustave Eiffel, et chargée de cours à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Associée au laboratoire Géographie-cités (CNRS) et à la Fondation Paul Ango Ela pour la géopolitique en Afrique centrale, elle est membre du Comité français de cartographie et du groupe Cartographie de Migreurop pour lequel elle participa aux Atlas des migrants dans le monde et Atlas des migrations en Europe (2012, 2017, 2022). Ses travaux portent en particulier sur la cartographie des mobilités spatiales par des flux et des mouvements, qu'elle met en oeuvre dans le cadre d'une approche théorique et méthodologique formelle articulant les aspects statistiques, géographiques et sémantiques.
À paraître
Cartographia. Comment les géographes (re)dessinent le Monde
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-200-64019-4
- EAN9782200640194
- Date de parution10/09/2025
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Comment a-t-on prouvé que la Terre était ronde ? Pourquoi plaçons-nous le Nord en haut sur nos cartes ? L'a-t-on toujours fait ? Et comment une frontière peut-elle être de longueur différente d'un pays à l'autre ? Dans ce livre, les géographes-cartographes Françoise Bahoken et Nicolas Lambert mettent en lumière les grandes découvertes et les concepts qui ont permis aux hommes de représenter le monde dans lequel ils vivent.
Dans une approche progressive, ils reprennent notamment la manière dont on a prouvé la rotondité de la Terre, comment on a réussi à la coucher sur une surface plate, comment on s'y repère ou encore pourquoi on place le nord en haut. L'occasion de revenir sur les limites de nos cartes - comme le choix d'adopter une projection cartographique plutôt qu'une autre - et de nos conventions - comme la mesure de l'altitude à partir du niveau de la mer.
L'occasion également de mettre en lumière des personnalités peu connues qui ont pourtant contribué à façonner le monde qu'on connaît aujourd'hui, comme Elisée Reclus ou Marie Tharp. Dans un style accessible et illustré de dessins schématiques, cet essai aborde ces problématiques qui peuvent avoir des conséquences dans notre quotidien (questions géopolitiques, frontières, remise en cause de fondamentaux par les complotistes, utilisation massive de Google Maps...).
Il permet de nous montrer qu'une carte n'est jamais neutre, qu'elle reste une interprétation du monde, où la représentation des terres et des mers est forcément déformée, et où la sémiologie graphique choisie donne le point de vue du cartographe.
Dans une approche progressive, ils reprennent notamment la manière dont on a prouvé la rotondité de la Terre, comment on a réussi à la coucher sur une surface plate, comment on s'y repère ou encore pourquoi on place le nord en haut. L'occasion de revenir sur les limites de nos cartes - comme le choix d'adopter une projection cartographique plutôt qu'une autre - et de nos conventions - comme la mesure de l'altitude à partir du niveau de la mer.
L'occasion également de mettre en lumière des personnalités peu connues qui ont pourtant contribué à façonner le monde qu'on connaît aujourd'hui, comme Elisée Reclus ou Marie Tharp. Dans un style accessible et illustré de dessins schématiques, cet essai aborde ces problématiques qui peuvent avoir des conséquences dans notre quotidien (questions géopolitiques, frontières, remise en cause de fondamentaux par les complotistes, utilisation massive de Google Maps...).
Il permet de nous montrer qu'une carte n'est jamais neutre, qu'elle reste une interprétation du monde, où la représentation des terres et des mers est forcément déformée, et où la sémiologie graphique choisie donne le point de vue du cartographe.
Comment a-t-on prouvé que la Terre était ronde ? Pourquoi plaçons-nous le Nord en haut sur nos cartes ? L'a-t-on toujours fait ? Et comment une frontière peut-elle être de longueur différente d'un pays à l'autre ? Dans ce livre, les géographes-cartographes Françoise Bahoken et Nicolas Lambert mettent en lumière les grandes découvertes et les concepts qui ont permis aux hommes de représenter le monde dans lequel ils vivent.
Dans une approche progressive, ils reprennent notamment la manière dont on a prouvé la rotondité de la Terre, comment on a réussi à la coucher sur une surface plate, comment on s'y repère ou encore pourquoi on place le nord en haut. L'occasion de revenir sur les limites de nos cartes - comme le choix d'adopter une projection cartographique plutôt qu'une autre - et de nos conventions - comme la mesure de l'altitude à partir du niveau de la mer.
L'occasion également de mettre en lumière des personnalités peu connues qui ont pourtant contribué à façonner le monde qu'on connaît aujourd'hui, comme Elisée Reclus ou Marie Tharp. Dans un style accessible et illustré de dessins schématiques, cet essai aborde ces problématiques qui peuvent avoir des conséquences dans notre quotidien (questions géopolitiques, frontières, remise en cause de fondamentaux par les complotistes, utilisation massive de Google Maps...).
Il permet de nous montrer qu'une carte n'est jamais neutre, qu'elle reste une interprétation du monde, où la représentation des terres et des mers est forcément déformée, et où la sémiologie graphique choisie donne le point de vue du cartographe.
Dans une approche progressive, ils reprennent notamment la manière dont on a prouvé la rotondité de la Terre, comment on a réussi à la coucher sur une surface plate, comment on s'y repère ou encore pourquoi on place le nord en haut. L'occasion de revenir sur les limites de nos cartes - comme le choix d'adopter une projection cartographique plutôt qu'une autre - et de nos conventions - comme la mesure de l'altitude à partir du niveau de la mer.
L'occasion également de mettre en lumière des personnalités peu connues qui ont pourtant contribué à façonner le monde qu'on connaît aujourd'hui, comme Elisée Reclus ou Marie Tharp. Dans un style accessible et illustré de dessins schématiques, cet essai aborde ces problématiques qui peuvent avoir des conséquences dans notre quotidien (questions géopolitiques, frontières, remise en cause de fondamentaux par les complotistes, utilisation massive de Google Maps...).
Il permet de nous montrer qu'une carte n'est jamais neutre, qu'elle reste une interprétation du monde, où la représentation des terres et des mers est forcément déformée, et où la sémiologie graphique choisie donne le point de vue du cartographe.