Caroline von Grone. Live Ubertragung
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- Nombre de pages320
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids1.438 kg
- Dimensions19,0 cm × 27,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-3-86442-427-4
- EAN9783864424274
- Date de parution10/09/2024
- ÉditeurSnoeck - Cologne
Résumé
"Lorsque je parcours le musée, je reconnais tout de suite lestableaux qui ont été réalisés d'après un modèle, et ceux dont ce n'est pas lecas ! " - Caroline von Grone a un oeil perçant et infaillible pour les contexteset les portraits. En 1991, elle a suivi les cours de maître de Klaus Rinke à laKunstakademie de Düsseldorf et, ce qui est totalement atypique pour l'époque, elle s'est lancée dans le portrait, celui de modèles qu'elle abordait, parexemple, dans le métro ou de personnes qui le lui commandaient.
L'une de sesforces est de "ne pas inventer" ses observations. Cela suppose une acuitévisuelle qui procure un immense plaisir aux observateurs. En effet, ses tableauxdévoilent ainsi parfois aussi l'image dans l'image, sous la forme notamment demurs carrelés aux motifs abstraits, de sols dallés et de l'intérieur d'espacespublics comme des cabines téléphoniques ou distributeurs automatiques de billetsde train.
Elle a aussi peint à de multiples reprises des maisons, notammentcelles de lotissements du Nord de l'Allemagne avant leur démolition. Ce sont cessituations finales qui l'intéressent - à l'antithèse de la photographie, parexemple celles des Becher. Sa pratique a toujours inclus celle de la peinture enpublic, sans laquelle elle serait incapable de "capter la présence de naturemorte dans un tableau si j'essayais de le peindre d'après une photo" .
L'une de sesforces est de "ne pas inventer" ses observations. Cela suppose une acuitévisuelle qui procure un immense plaisir aux observateurs. En effet, ses tableauxdévoilent ainsi parfois aussi l'image dans l'image, sous la forme notamment demurs carrelés aux motifs abstraits, de sols dallés et de l'intérieur d'espacespublics comme des cabines téléphoniques ou distributeurs automatiques de billetsde train.
Elle a aussi peint à de multiples reprises des maisons, notammentcelles de lotissements du Nord de l'Allemagne avant leur démolition. Ce sont cessituations finales qui l'intéressent - à l'antithèse de la photographie, parexemple celles des Becher. Sa pratique a toujours inclus celle de la peinture enpublic, sans laquelle elle serait incapable de "capter la présence de naturemorte dans un tableau si j'essayais de le peindre d'après une photo" .
"Lorsque je parcours le musée, je reconnais tout de suite lestableaux qui ont été réalisés d'après un modèle, et ceux dont ce n'est pas lecas ! " - Caroline von Grone a un oeil perçant et infaillible pour les contexteset les portraits. En 1991, elle a suivi les cours de maître de Klaus Rinke à laKunstakademie de Düsseldorf et, ce qui est totalement atypique pour l'époque, elle s'est lancée dans le portrait, celui de modèles qu'elle abordait, parexemple, dans le métro ou de personnes qui le lui commandaient.
L'une de sesforces est de "ne pas inventer" ses observations. Cela suppose une acuitévisuelle qui procure un immense plaisir aux observateurs. En effet, ses tableauxdévoilent ainsi parfois aussi l'image dans l'image, sous la forme notamment demurs carrelés aux motifs abstraits, de sols dallés et de l'intérieur d'espacespublics comme des cabines téléphoniques ou distributeurs automatiques de billetsde train.
Elle a aussi peint à de multiples reprises des maisons, notammentcelles de lotissements du Nord de l'Allemagne avant leur démolition. Ce sont cessituations finales qui l'intéressent - à l'antithèse de la photographie, parexemple celles des Becher. Sa pratique a toujours inclus celle de la peinture enpublic, sans laquelle elle serait incapable de "capter la présence de naturemorte dans un tableau si j'essayais de le peindre d'après une photo" .
L'une de sesforces est de "ne pas inventer" ses observations. Cela suppose une acuitévisuelle qui procure un immense plaisir aux observateurs. En effet, ses tableauxdévoilent ainsi parfois aussi l'image dans l'image, sous la forme notamment demurs carrelés aux motifs abstraits, de sols dallés et de l'intérieur d'espacespublics comme des cabines téléphoniques ou distributeurs automatiques de billetsde train.
Elle a aussi peint à de multiples reprises des maisons, notammentcelles de lotissements du Nord de l'Allemagne avant leur démolition. Ce sont cessituations finales qui l'intéressent - à l'antithèse de la photographie, parexemple celles des Becher. Sa pratique a toujours inclus celle de la peinture enpublic, sans laquelle elle serait incapable de "capter la présence de naturemorte dans un tableau si j'essayais de le peindre d'après une photo" .