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Carole Benzaken. Rien de nouveau sous le soleil
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- Nombre de pages120
- PrésentationRelié
- Poids0.001 kg
- ISBN978-2-35906-474-2
- EAN9782359064742
- Date de parution25/09/2025
- ÉditeurLienart
Résumé
Dans l'oeuvre de Carole Benzaken (née en 1964) la vanité est omniprésente. Son esthétique de l'impermanence et sa mise en suspens des choses par la peinture s'étend des Tulipes qui l'ont fait connaître, jusqu'à ses Eclats, série la plus récente de l'artiste. Dès les années 1990, ses motifs floraux évoquent déjà les grandes heures de la vanité au XVIIe siècle. Plus tard, la reprise de cette série sous le nom d'Autoportrait (ancien) (2013) joue sur l'autocitation et l'humour, comme un memento mori jubilatoire.
Après avoir vu son rapport au temps bouleversé par son séjour aux Etats-Unis, Carole Benzaken achète une ferme en Mayenne en 2004, non loin du Mans, dans le but d'y installer un atelier. Elle fréquente le musée de Tessé et admire le chef-d'oeuvre de Philippe de Champaigne, La Vanité. C'est alors que naît la série Ecclésiaste 7 : 24. Inspirée du texte biblique, elle se réfère littéralement à la vanité des choses humaines et à un " profond, profond " inaccessible.
Dès lors, sa création se teinte d'une importante réflexion sur l'éphémère. L'image brouillée, floutée, difractée, est conçue chez Carole Benzaken comme un montage, une superposition de couches à la recherche d'une sensation toute cézanienne, dans la négation des images " mortifères " qui envahissent nos quotidiens. Le végétal, omniprésent dans sa peinture, présente la nature comme source d'inspiration et modèle de temporalité invitant à la sagesse et à la lenteur dans un monde où, frénétiquement, tout s'accélère.
Après avoir vu son rapport au temps bouleversé par son séjour aux Etats-Unis, Carole Benzaken achète une ferme en Mayenne en 2004, non loin du Mans, dans le but d'y installer un atelier. Elle fréquente le musée de Tessé et admire le chef-d'oeuvre de Philippe de Champaigne, La Vanité. C'est alors que naît la série Ecclésiaste 7 : 24. Inspirée du texte biblique, elle se réfère littéralement à la vanité des choses humaines et à un " profond, profond " inaccessible.
Dès lors, sa création se teinte d'une importante réflexion sur l'éphémère. L'image brouillée, floutée, difractée, est conçue chez Carole Benzaken comme un montage, une superposition de couches à la recherche d'une sensation toute cézanienne, dans la négation des images " mortifères " qui envahissent nos quotidiens. Le végétal, omniprésent dans sa peinture, présente la nature comme source d'inspiration et modèle de temporalité invitant à la sagesse et à la lenteur dans un monde où, frénétiquement, tout s'accélère.
Dans l'oeuvre de Carole Benzaken (née en 1964) la vanité est omniprésente. Son esthétique de l'impermanence et sa mise en suspens des choses par la peinture s'étend des Tulipes qui l'ont fait connaître, jusqu'à ses Eclats, série la plus récente de l'artiste. Dès les années 1990, ses motifs floraux évoquent déjà les grandes heures de la vanité au XVIIe siècle. Plus tard, la reprise de cette série sous le nom d'Autoportrait (ancien) (2013) joue sur l'autocitation et l'humour, comme un memento mori jubilatoire.
Après avoir vu son rapport au temps bouleversé par son séjour aux Etats-Unis, Carole Benzaken achète une ferme en Mayenne en 2004, non loin du Mans, dans le but d'y installer un atelier. Elle fréquente le musée de Tessé et admire le chef-d'oeuvre de Philippe de Champaigne, La Vanité. C'est alors que naît la série Ecclésiaste 7 : 24. Inspirée du texte biblique, elle se réfère littéralement à la vanité des choses humaines et à un " profond, profond " inaccessible.
Dès lors, sa création se teinte d'une importante réflexion sur l'éphémère. L'image brouillée, floutée, difractée, est conçue chez Carole Benzaken comme un montage, une superposition de couches à la recherche d'une sensation toute cézanienne, dans la négation des images " mortifères " qui envahissent nos quotidiens. Le végétal, omniprésent dans sa peinture, présente la nature comme source d'inspiration et modèle de temporalité invitant à la sagesse et à la lenteur dans un monde où, frénétiquement, tout s'accélère.
Après avoir vu son rapport au temps bouleversé par son séjour aux Etats-Unis, Carole Benzaken achète une ferme en Mayenne en 2004, non loin du Mans, dans le but d'y installer un atelier. Elle fréquente le musée de Tessé et admire le chef-d'oeuvre de Philippe de Champaigne, La Vanité. C'est alors que naît la série Ecclésiaste 7 : 24. Inspirée du texte biblique, elle se réfère littéralement à la vanité des choses humaines et à un " profond, profond " inaccessible.
Dès lors, sa création se teinte d'une importante réflexion sur l'éphémère. L'image brouillée, floutée, difractée, est conçue chez Carole Benzaken comme un montage, une superposition de couches à la recherche d'une sensation toute cézanienne, dans la négation des images " mortifères " qui envahissent nos quotidiens. Le végétal, omniprésent dans sa peinture, présente la nature comme source d'inspiration et modèle de temporalité invitant à la sagesse et à la lenteur dans un monde où, frénétiquement, tout s'accélère.