Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
On trouvera ici le contenu de cinq carnets manuscrits d'Henri Irénée Marrou, qui ont été conservés sans être lus pendant vingt-trois années après...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
On trouvera ici le contenu de cinq carnets manuscrits d'Henri Irénée Marrou, qui ont été conservés sans être lus pendant vingt-trois années après sa mort. Le premier est daté de 1927, le dernier s'achevant sur la date du 10 février 1911. Ces carnets ne sont pas un " journal " : seuls les débuts et les fins de chacun sont formellement datés ; Henri Irénée Marrou n'y fait que très rarement allusion à sa vie familiale et civique, à peine plus souvent à sa vie de professeur. Leur texte, très peu raturé, se présente comme une suite de rubriques numérotées, de longueurs inégales, fréquemment relues comme en témoignent les renvois d'une rubrique à l'autre, voire d'un carnet à l'autre.
Pour l'essentiel, les carnets sont un dialogue d'Henri Irénée Marrou avec lui-même sous le regard de Dieu - ce Dieu qui s'adresse à lui constamment à travers les Écritures, les Pères de l'Église, l'exemple et les écrits de quelques grands saints, ainsi que par la musique, et par la nature contemplée en certains endroits privilégiés. À l'évidence, ces carnets ne sont pas écrits pour d'autres, mais uniquement à l'intention de leur auteur : ils lui servent à jalonner sa vie spirituelle, une vie qui sous-tend et anime toutes ses entreprises terrestres.