Ces carnets ont été tenus quotidiennement par un journaliste plongé au cœur même de la dernière Coupe du Monde du XXe siècle, dans le sillage de l'équipe de France.
Pierre-Louis Basse possède à l'évidence ce précieux don d'admirer, mais aussi cette rage de dénoncer ce qui menace de trahir et dénaturer une passion d'enfance à laquelle on se doit de rester fidèle une vie durant.
Ainsi a-t-il tenté de retenir ce qui n'aurait jamais dû quitter l'univers du football : le jeu, la poésie des lieux, les points de rupture des héros, un chagrin parfois inconsolable dans la défaite et, surtout, cette pure joie collective que la dictature du spectacle ne parviendra peut-être jamais à effacer totalement.
Zidane marque, Ronaldo s'effondre, des hooligans cognent, mais le flâneur solitaire guette en marge les plus belles émotions à offrir aux lecteurs. Tout simplement " parce qu'il n'y a pas de littérature sans émotion. "
Ces carnets ont été tenus quotidiennement par un journaliste plongé au cœur même de la dernière Coupe du Monde du XXe siècle, dans le sillage de l'équipe de France.
Pierre-Louis Basse possède à l'évidence ce précieux don d'admirer, mais aussi cette rage de dénoncer ce qui menace de trahir et dénaturer une passion d'enfance à laquelle on se doit de rester fidèle une vie durant.
Ainsi a-t-il tenté de retenir ce qui n'aurait jamais dû quitter l'univers du football : le jeu, la poésie des lieux, les points de rupture des héros, un chagrin parfois inconsolable dans la défaite et, surtout, cette pure joie collective que la dictature du spectacle ne parviendra peut-être jamais à effacer totalement.
Zidane marque, Ronaldo s'effondre, des hooligans cognent, mais le flâneur solitaire guette en marge les plus belles émotions à offrir aux lecteurs. Tout simplement " parce qu'il n'y a pas de littérature sans émotion. "