Carnet de têtes d'épingles
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 11 décembreCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 8 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 11 décembre
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages104
- PrésentationBroché
- Poids0.14 kg
- Dimensions10,0 cm × 20,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-930607-32-0
- EAN9782930607320
- Date de parution01/11/2011
- ÉditeurCarnets du Dessert de Lune
Résumé
Dans ce monde du manque d'amour, de travail, de considération, " parfois on voudrait fuir/mais l'on reste là ", dans une attente vaine, peut-être des jours légers où " il y a une fête entre amis/un repas au bord de l'eau ", " un éclat de vivre ". Véronique Joyaux nous fait toucher du doigt avec des mots simples, mais avec chaleur, avec tendresse, l'usure des jours, la dignité des femmes et des hommes d'en bas.
Au fond, " il suffirait d'un geste/pour que tout vacille ", l'espoir subsiste, quelque part, au moins dans l'oeil du poète. Loin du nombrilisme ou de l'hermétisme d'une certaine poésie actuelle, voici un recueil qui réchauffe, qui nous incite, peut-être, à ne plus accepter d'être malmenés par la vie.
Au fond, " il suffirait d'un geste/pour que tout vacille ", l'espoir subsiste, quelque part, au moins dans l'oeil du poète. Loin du nombrilisme ou de l'hermétisme d'une certaine poésie actuelle, voici un recueil qui réchauffe, qui nous incite, peut-être, à ne plus accepter d'être malmenés par la vie.
Dans ce monde du manque d'amour, de travail, de considération, " parfois on voudrait fuir/mais l'on reste là ", dans une attente vaine, peut-être des jours légers où " il y a une fête entre amis/un repas au bord de l'eau ", " un éclat de vivre ". Véronique Joyaux nous fait toucher du doigt avec des mots simples, mais avec chaleur, avec tendresse, l'usure des jours, la dignité des femmes et des hommes d'en bas.
Au fond, " il suffirait d'un geste/pour que tout vacille ", l'espoir subsiste, quelque part, au moins dans l'oeil du poète. Loin du nombrilisme ou de l'hermétisme d'une certaine poésie actuelle, voici un recueil qui réchauffe, qui nous incite, peut-être, à ne plus accepter d'être malmenés par la vie.
Au fond, " il suffirait d'un geste/pour que tout vacille ", l'espoir subsiste, quelque part, au moins dans l'oeil du poète. Loin du nombrilisme ou de l'hermétisme d'une certaine poésie actuelle, voici un recueil qui réchauffe, qui nous incite, peut-être, à ne plus accepter d'être malmenés par la vie.



