Caprilli et Danloux

Par : Marion Scali

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7011-3637-7
  • EAN9782701136370
  • Date de parution01/11/2003
  • CollectionLes grands maîtres expliqués
  • ÉditeurBelin

Résumé

Chaque cavalier qui saute la moindre barre sait-il ce qu'il doit à Frederigo Caprili, l'Italien, et à Pierre Danloux, le Français ? Au début du XXe siècle, les deux écuyers mettent au point une méthode et un style qui modifient radicalement la monte en extérieur, alors que naît le concours hippique. Sans eux, le saut d'obstacle tel qu'il est pratiqué aujourd'hui n'existerait pas. A 20 ans d'intervalle, de chaque côté des Alpes, ils partagèrent une curiosité, un sens de l'observation - et une ténacité- extrêmes. A force d'études sur la locomotion du cheval, ils luttèrent contre la position dite classique : épaules en arrière, jambes en avant et rênes tendues. Caprilli et Danloux voulaient que le cheval garde la liberté de son encolure et que la cavalier, en adoptant une position en équilibre, ménage la bouche et le dos de sa monture. Si les chevaux avaient une mémoire collective, nul doute qu'ils voueraient une reconnaissance intense à Frederigo Caprillio et à Pierre Danloux.
Chaque cavalier qui saute la moindre barre sait-il ce qu'il doit à Frederigo Caprili, l'Italien, et à Pierre Danloux, le Français ? Au début du XXe siècle, les deux écuyers mettent au point une méthode et un style qui modifient radicalement la monte en extérieur, alors que naît le concours hippique. Sans eux, le saut d'obstacle tel qu'il est pratiqué aujourd'hui n'existerait pas. A 20 ans d'intervalle, de chaque côté des Alpes, ils partagèrent une curiosité, un sens de l'observation - et une ténacité- extrêmes. A force d'études sur la locomotion du cheval, ils luttèrent contre la position dite classique : épaules en arrière, jambes en avant et rênes tendues. Caprilli et Danloux voulaient que le cheval garde la liberté de son encolure et que la cavalier, en adoptant une position en équilibre, ménage la bouche et le dos de sa monture. Si les chevaux avaient une mémoire collective, nul doute qu'ils voueraient une reconnaissance intense à Frederigo Caprillio et à Pierre Danloux.
Le jour où les chevaux parleront
Marion Scali, Jacques Papin, Adeline Wirth
E-book
14,99 €