Cantiques spirituels de l’Amour divin

Par : Jean-Joseph Surin, Benedetta Papasogli
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  • Nombre de pages368
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.52 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-7453-6396-1
  • EAN9782745363961
  • Date de parution25/11/2025
  • CollectionMystica
  • ÉditeurHonoré Champion

Résumé

Les Cantiques spirituels de l'Amour divin du jésuite Jean-Joseph Surin (1600-1665), composés pendant les années les plus sombres de la vie de leur auteur, ont attendu des siècles avant d'être relus et scrutés dans l'originalité de leur message. La "voie excessive" de Surin y trouve son expression la plus accomplie ; presque à chaque page, le choc des contraires y est à l'ordre du jour : les nuits et les aurores, la perte et l'ivresse, la descente dans l'abîme et le recueillement dans la demeure, ces contrastes viennent enrichir un récit de soi et une peinture de l'Amour qui, d'autre part, retracent avec une grande liberté les trois voies de la vie spirituelle (purification, illumination, union).
Pour la première fois, des sources cachées du texte de Surin font surface : non seulement la mystique espagnole ou italienne, mais aussi l'amour véhément, "violent" , des traités du Moyen Age qui ont contribué à façonner la forme occidentale de l'amour. La présence des partitions (les "airs notés" des chansons profanes sur lesquels ces poèmes étaient chantés) restitue l'ombre de l'intransmissible : la douceur du "luth" intérieur dont Surin était à l'écoute et dont la simplicitas des vers et des timbres se veut reflet et écho.
Les Cantiques spirituels de l'Amour divin du jésuite Jean-Joseph Surin (1600-1665), composés pendant les années les plus sombres de la vie de leur auteur, ont attendu des siècles avant d'être relus et scrutés dans l'originalité de leur message. La "voie excessive" de Surin y trouve son expression la plus accomplie ; presque à chaque page, le choc des contraires y est à l'ordre du jour : les nuits et les aurores, la perte et l'ivresse, la descente dans l'abîme et le recueillement dans la demeure, ces contrastes viennent enrichir un récit de soi et une peinture de l'Amour qui, d'autre part, retracent avec une grande liberté les trois voies de la vie spirituelle (purification, illumination, union).
Pour la première fois, des sources cachées du texte de Surin font surface : non seulement la mystique espagnole ou italienne, mais aussi l'amour véhément, "violent" , des traités du Moyen Age qui ont contribué à façonner la forme occidentale de l'amour. La présence des partitions (les "airs notés" des chansons profanes sur lesquels ces poèmes étaient chantés) restitue l'ombre de l'intransmissible : la douceur du "luth" intérieur dont Surin était à l'écoute et dont la simplicitas des vers et des timbres se veut reflet et écho.