Camille Claudel. Femme-sculpteur, de la grâce à l'exil
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- Nombre de pages270
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.452 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-343-22081-9
- EAN9782343220819
- Date de parution29/01/2021
- CollectionPsychanalyse et civilisations
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierChristiane Alberti
- PostfacierClotilde Leguil
Résumé
De l'oeuvre et de la correspondance de Camille Claudel se dégage l'idée d'un engagement absolu de l'artiste assujetti à un réel à l'oeuvre. Elle y condense sa logique et témoigne d'une quête. Le dernier enseignement de Jacques Lacan permet de cerner comment Camille Claudel tente de circonscrire dans le marbre ce qui la secoue et la met à l'épreuve. Progressivement, il s'y condense le regard de l'Autre qui la vise et l'écrasante dissociation de son corps.
Au-delà de la beauté de ses statues apparait le scénario d'une logique autopunitive et sacrificielle, qu'elle élève à la hauteur de l'oeuvre d'art. En définitive, son travail n'est pas à interpréter comme ses motivations secrètes et son histoire, mais comme marques, traces irréductibles de sa décomposition et de sa chute.
Au-delà de la beauté de ses statues apparait le scénario d'une logique autopunitive et sacrificielle, qu'elle élève à la hauteur de l'oeuvre d'art. En définitive, son travail n'est pas à interpréter comme ses motivations secrètes et son histoire, mais comme marques, traces irréductibles de sa décomposition et de sa chute.
De l'oeuvre et de la correspondance de Camille Claudel se dégage l'idée d'un engagement absolu de l'artiste assujetti à un réel à l'oeuvre. Elle y condense sa logique et témoigne d'une quête. Le dernier enseignement de Jacques Lacan permet de cerner comment Camille Claudel tente de circonscrire dans le marbre ce qui la secoue et la met à l'épreuve. Progressivement, il s'y condense le regard de l'Autre qui la vise et l'écrasante dissociation de son corps.
Au-delà de la beauté de ses statues apparait le scénario d'une logique autopunitive et sacrificielle, qu'elle élève à la hauteur de l'oeuvre d'art. En définitive, son travail n'est pas à interpréter comme ses motivations secrètes et son histoire, mais comme marques, traces irréductibles de sa décomposition et de sa chute.
Au-delà de la beauté de ses statues apparait le scénario d'une logique autopunitive et sacrificielle, qu'elle élève à la hauteur de l'oeuvre d'art. En définitive, son travail n'est pas à interpréter comme ses motivations secrètes et son histoire, mais comme marques, traces irréductibles de sa décomposition et de sa chute.