Caligula, confessions d'un tyran

Par : Eric Mangin
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages496
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.67 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-900311-25-7
  • EAN9782900311257
  • Date de parution17/05/2019
  • ÉditeurHéraclite (Editions)

Résumé

Porté au théâtre par Albert Camus, au cinéma par Tinto Brass, le personnage de Caligula avait trouvé place, croyait-on. Et voici qu'Eric Mangin dans son ouvrage intitulé : ''Confessions d'un tyran'' nous en livre un nouvel aspect en faisant de cet empereur romain l'auteur de sa propre vie grâce au journal qu'il tient : moyen original, astucieux et vivant qui va ajouter à la dimension dramatique et émotionnelle un souffle puissant.
Une écriture enlevée, élégante, sèche et tranchante parfois nous permet un voyage extraordinaire dans la Rome antique où pouvoir, intrigues, amours, débauches, cruauté se mêlent et dont le caractère à la fois tyrannique, exécrable et également émouvant du héros en est le miroir. Une documentation sérieuse et rigoureuse par la connaissance des auteurs anciens en particulier de Suétone font de ce roman historique une oeuvre passionnante dont la portée littéraire est incontestable.
Porté au théâtre par Albert Camus, au cinéma par Tinto Brass, le personnage de Caligula avait trouvé place, croyait-on. Et voici qu'Eric Mangin dans son ouvrage intitulé : ''Confessions d'un tyran'' nous en livre un nouvel aspect en faisant de cet empereur romain l'auteur de sa propre vie grâce au journal qu'il tient : moyen original, astucieux et vivant qui va ajouter à la dimension dramatique et émotionnelle un souffle puissant.
Une écriture enlevée, élégante, sèche et tranchante parfois nous permet un voyage extraordinaire dans la Rome antique où pouvoir, intrigues, amours, débauches, cruauté se mêlent et dont le caractère à la fois tyrannique, exécrable et également émouvant du héros en est le miroir. Une documentation sérieuse et rigoureuse par la connaissance des auteurs anciens en particulier de Suétone font de ce roman historique une oeuvre passionnante dont la portée littéraire est incontestable.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 3 avis lecteurs
Caligula au jour le jour
Un régal de lecture. Historiquement juste, j'ai été transporté du début à la fin par cet ouvrage qui aborde la personnalité de cet Empereur sous la forme de son journal intime. Original et haletant .
Un régal de lecture. Historiquement juste, j'ai été transporté du début à la fin par cet ouvrage qui aborde la personnalité de cet Empereur sous la forme de son journal intime. Original et haletant .
Petit bijoux
Un vrai régal. J'ai découvert cet auteur sur le salon des rendez vous de l'Histoire à Blois. C'est un ouvrage passionnant et d'une vérité historique confondante. L'originalité est le journal tenu au jour le jour par l'Empereur Caligula. Une plongé juste et haletante dans l'univers trouble et terrifiante de cet Empereur. Un petit chef d'oeuvre.
Un vrai régal. J'ai découvert cet auteur sur le salon des rendez vous de l'Histoire à Blois. C'est un ouvrage passionnant et d'une vérité historique confondante. L'originalité est le journal tenu au jour le jour par l'Empereur Caligula. Une plongé juste et haletante dans l'univers trouble et terrifiante de cet Empereur. Un petit chef d'oeuvre.
Une arnaque !
Dans cet ouvrage qui manque clairement d'originalité, Eric Mangin décide de poursuivre dans la voie déjà si souvent empruntée par les prétendus "historiens" qui n'hésitent pas à falsifier l'histoire en dressant un portrait de Caligula plus sinistre que la réalité. Aucune complexité ici. Caligula est une carricature dépouillée de son humanité et bien loin des véritables enjeux politiques de l'époque. Si seulement le portrait collait à la réalité, pourquoi pas, mais le problème c'est qu'ici ce n'est pas le cas. La caricature prédomine tout au long du récit à un tel point que c'est la seule chose que l'on voit. Et l'histoire s'en trouve inévitablement altérée lorsque le cynique Caligula ayant décidé d'humilier ses ministres en nommant son cheval au poste de ministre devient sous la plume d'Eric Mangin un rêveur débauché faisant office de prophète fou. La question que l'on est en droit de se poser aujourd'hui c'est: pourquoi continuer à cracher sur Caligula alors que ce n'est plus d'actualité depuis longtemps? Mais Caligula n'est pas le seul à en prendre pour son grade. Le préfet Macron est également tout au long du livre un sujet de moquerie. Et ce n'est ici en réalité qu'une confusion personnelle de l'auteur entre deux personnages, à savoir le préfet Macron et notre président actuel. Au fur et à mesure de notre lecture, on constate qu'Eric Mangin exorcise ses propres démons et sa haine du gouvernement actuel au travers de cet ouvrage. Cela peut s'avérer utile en psychothérapie, mais lorsqu'il s'agit d'un livre que l'on se doit de considérer comme "historique" c'est assez grave. Dans ce récit, on en vient bien souvent au fil des dialogues à confondre le personnage de Caligula avec son auteur. Mais la vérité c'est qu'Eric Mangin n'est pas Caligula. Il n'a pas les épaules pour ça.
Dans cet ouvrage qui manque clairement d'originalité, Eric Mangin décide de poursuivre dans la voie déjà si souvent empruntée par les prétendus "historiens" qui n'hésitent pas à falsifier l'histoire en dressant un portrait de Caligula plus sinistre que la réalité. Aucune complexité ici. Caligula est une carricature dépouillée de son humanité et bien loin des véritables enjeux politiques de l'époque. Si seulement le portrait collait à la réalité, pourquoi pas, mais le problème c'est qu'ici ce n'est pas le cas. La caricature prédomine tout au long du récit à un tel point que c'est la seule chose que l'on voit. Et l'histoire s'en trouve inévitablement altérée lorsque le cynique Caligula ayant décidé d'humilier ses ministres en nommant son cheval au poste de ministre devient sous la plume d'Eric Mangin un rêveur débauché faisant office de prophète fou. La question que l'on est en droit de se poser aujourd'hui c'est: pourquoi continuer à cracher sur Caligula alors que ce n'est plus d'actualité depuis longtemps? Mais Caligula n'est pas le seul à en prendre pour son grade. Le préfet Macron est également tout au long du livre un sujet de moquerie. Et ce n'est ici en réalité qu'une confusion personnelle de l'auteur entre deux personnages, à savoir le préfet Macron et notre président actuel. Au fur et à mesure de notre lecture, on constate qu'Eric Mangin exorcise ses propres démons et sa haine du gouvernement actuel au travers de cet ouvrage. Cela peut s'avérer utile en psychothérapie, mais lorsqu'il s'agit d'un livre que l'on se doit de considérer comme "historique" c'est assez grave. Dans ce récit, on en vient bien souvent au fil des dialogues à confondre le personnage de Caligula avec son auteur. Mais la vérité c'est qu'Eric Mangin n'est pas Caligula. Il n'a pas les épaules pour ça.
  • histoire
  • caricature
  • problèmes
  • écrivaillon
  • psychologiques
  • eric mangin
  • névropathe
  • caligula