Cairon : vivre et mourir au néolithique. La Pierre Tourneresse en Calvados

Par : Emmanuel Ghesquière, Cyril Marcigny

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  • Nombre de pages199
  • PrésentationBroché
  • Poids0.748 kg
  • Dimensions21,7 cm × 28,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-7535-1438-6
  • EAN9782753514386
  • Date de parution15/09/2011
  • CollectionArchéologie et culture
  • ÉditeurPU Rennes
  • PréfacierAntoine Chancerel

Résumé

En 1992, des sondages sur le dolmen ruiné de Cairon ont mis en évidence une architecture partiellement conservée de son cairn et ont permis la découverte d'un vieux-sol préservé sous le monument. De 1996 à 1999, une fouille programmée a permis de mettre à jour la presque intégralité des témoins architecturaux du mégalithe (chambres funéraires, cairns, éboulis), avec une seconde chambre inédite. Les résultats les plus spectaculaires concernent le vieux-sol qui a livré un riche niveau d'habitat daté de 4200 à 4100 avant notre ère.
Un grand bâtiment légèrement trapézoïdal et des fosses attenantes sont associés à un mobilier abondant : céramique, silex, éléments de faune, qui placent ces industries au début du Néolithique moyen II. La structure la plus étonnante de ce vieux-sol consiste en un petit espace délimité par des stèles, probablement réutilisées par la suite comme orthostates du dolmen, dont la fonction reste sujette à conjecture.
À la suite de la fouille, une reconstitution partielle du monument a permis sa mise en valeur touristique et son ouverture au public.
En 1992, des sondages sur le dolmen ruiné de Cairon ont mis en évidence une architecture partiellement conservée de son cairn et ont permis la découverte d'un vieux-sol préservé sous le monument. De 1996 à 1999, une fouille programmée a permis de mettre à jour la presque intégralité des témoins architecturaux du mégalithe (chambres funéraires, cairns, éboulis), avec une seconde chambre inédite. Les résultats les plus spectaculaires concernent le vieux-sol qui a livré un riche niveau d'habitat daté de 4200 à 4100 avant notre ère.
Un grand bâtiment légèrement trapézoïdal et des fosses attenantes sont associés à un mobilier abondant : céramique, silex, éléments de faune, qui placent ces industries au début du Néolithique moyen II. La structure la plus étonnante de ce vieux-sol consiste en un petit espace délimité par des stèles, probablement réutilisées par la suite comme orthostates du dolmen, dont la fonction reste sujette à conjecture.
À la suite de la fouille, une reconstitution partielle du monument a permis sa mise en valeur touristique et son ouverture au public.