Suite au meurtre de son frère, Caïn est condamné à errer éternellement, et pas nécessairement chronologiquement. Il va rencontrer entre autres Lilith, Abraham, Josué et Noé, et prendre toute la mesure de Dieu.
J'ai été surprise par le style de Saramago, que je n'avais jamais lu, mais on s’y habitue très bien.
Le roman est une magnifique satire blasphématoire, une relecture de l’Ancien Testament du point de vue de Caïn, qui tua son frère lorsque sur une lubie Dieu refusa son offrande tout en acceptant celle d'Abel. Tout au long du roman, c’est cette vision de Dieu que Saramago propose : lunatique, méchant, cruel, indifférent, en un mot, imparfait.
Suite au meurtre de son frère, Caïn est condamné à errer éternellement, et pas nécessairement chronologiquement. Il va rencontrer entre autres Lilith, Abraham, Josué et Noé, et prendre toute la mesure de Dieu.
J'ai été surprise par le style de Saramago, que je n'avais jamais lu, mais on s’y habitue très bien.
Le roman est une magnifique satire blasphématoire, une relecture de l’Ancien Testament du point de vue de Caïn, qui tua son frère lorsque sur une lubie Dieu refusa son offrande tout en acceptant celle d'Abel. Tout au long du roman, c’est cette vision de Dieu que Saramago propose : lunatique, méchant, cruel, indifférent, en un mot, imparfait.