Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Parus pour la première fois en 1851, les Cahiers du capitaine Coignet ont connu à chacune de leur édition un succès comparable à celui des Mémoires...
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Parus pour la première fois en 1851, les Cahiers du capitaine Coignet ont connu à chacune de leur édition un succès comparable à celui des Mémoires du sergent Bourgogne. Ils figurent parmi les témoignages le plus souvent cités sur les guerres de l'Empire. Jean-Roch Coignet (16 août 1776-11 décembre 1865) commence sa carrière militaire à vingt-trois ans. Campagne d'Italie, admission dans la Garde, Austerlitz, Iéna, Friedland. Chevalier de la première promotion de la Légion d'honneur (15 juillet 1804), caporal en 1807, sergent en 1809, lieutenant pendant la campagne de Russie, il est nommé capitaine en 1813. Retiré à Auxerre après la première abdication, il rejoint l'Aigle lors de son retour triomphal de l'île d'Elbe. Il se battra encore à Fleurus, et enfin à Waterloo. Le 31 octobre 1815, il est renvoyé comme " demi-solde " dans ses foyers, à Auxerre, où il mourra dans son lit, après avoir participé à quarante-huit batailles sans jamais recevoir une seule blessure. L'édition établie scrupuleusement sur le manuscrit et présentée par Jean Mistler, que nous reprenons ici, est la plus complète et la plus fidèle de toutes celles parues à ce jour.