Avec un style clair, incisif, von Schirach nous offre un petit recueil d'instantanés, d'anecdotes lumineuses, des bribes d'instants, des conversations, des rapports du tribunal. Qu'elles soient cocasses. Qu'elles soient dramatiques, qu'elles empruntent les chemins et les détours de ce qu'une vie laisse derrière elle ou bien devant. Qu'elles ne soient que des brèves insouciantes ou des réflexions approfondies sur la question du droit, de la justice, de l'amour ou de la trahison. Ces instants, ces récits, sont d'une heureuse permanence et d'une subtilité étonnante.
Une mémoire-diaspora qui flotte au-dessus des eaux douces et tumultueuses de l'écriture. Le doux fumet du prétoire où les langues se délient, les affaires se résolvent. Où les cœurs se nouent, et les histoires se diffusent.
C’est l’histoire du temps qui passe, le souvenir des cigarettes que l’on avait, avant, le droit de fumer devant un café, à l’intérieur du bar.
Avec un style clair, incisif, von Schirach nous offre un petit recueil d'instantanés, d'anecdotes lumineuses, des bribes d'instants, des conversations, des rapports du tribunal. Qu'elles soient cocasses. Qu'elles soient dramatiques, qu'elles empruntent les chemins et les détours de ce qu'une vie laisse derrière elle ou bien devant. Qu'elles ne soient que des brèves insouciantes ou des réflexions approfondies sur la question du droit, de la justice, de l'amour ou de la trahison. Ces instants, ces récits, sont d'une heureuse permanence et d'une subtilité étonnante.
Une mémoire-diaspora qui flotte au-dessus des eaux douces et tumultueuses de l'écriture. Le doux fumet du prétoire où les langues se délient, les affaires se résolvent. Où les cœurs se nouent, et les histoires se diffusent.
C’est l’histoire du temps qui passe, le souvenir des cigarettes que l’on avait, avant, le droit de fumer devant un café, à l’intérieur du bar.