Cadre clinique et tendresse. Des liaisons dangereuses ?

Par : Laurent Tigrane Tovmassian, Christophe Janssen
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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.325 kg
  • Dimensions13,8 cm × 20,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-84835-753-9
  • EAN9782848357539
  • Date de parution25/05/2022
  • CollectionOuvertures psy
  • ÉditeurIn Press

Résumé

Comment la tendresse peut-elle se penser et s'intégrer dans le cadre de la cure analytique ? Peut-elle être un catalyseur ? Au-delà de la bienveillance, de l'empathie, du transfert et contre-transfert... y a-t-il une place pour la tendresse dans le cadre de la cure psychanalytique ? Interroger la tendresse, c'est interroger la relation entre thérapeute et patient et la profondeur de cette relation.
Certains psychanalystes parlent d'une "pulsion d'attachement". Elle permettrait de lier la théorie freudienne des pulsions et la relation d'objet avec celle de l'attachement. On a quelquefois rapproché le "courant tendre" de Freud du concept d'attachement. La tendresse et l'attachement ou la pulsion d'attachement sont-ils donc du même registre ? Attachement, courant tendre, pulsionnel des origines non encore sexualisé, pulsion de tendresse...
les options sont multiples. Peut-on imaginer une troisième voie : celle d'un pont entre attachement et psychosexualité ? La tendresse est-elle simplement une pulsion sexuelle inhibée quant au but ou autre chose ? Qu'est-ce que la tendresse au regard du cadre psychanalytique et des dispositifs s'en inspirant ? Une hérésie ? Un mal nécessaire ? Une impasse ? Ou ne pourrait-elle pas constituer un terreau fertile à la base de tout travail s'étayant sur la rencontre et le déploiement des relations ?
Comment la tendresse peut-elle se penser et s'intégrer dans le cadre de la cure analytique ? Peut-elle être un catalyseur ? Au-delà de la bienveillance, de l'empathie, du transfert et contre-transfert... y a-t-il une place pour la tendresse dans le cadre de la cure psychanalytique ? Interroger la tendresse, c'est interroger la relation entre thérapeute et patient et la profondeur de cette relation.
Certains psychanalystes parlent d'une "pulsion d'attachement". Elle permettrait de lier la théorie freudienne des pulsions et la relation d'objet avec celle de l'attachement. On a quelquefois rapproché le "courant tendre" de Freud du concept d'attachement. La tendresse et l'attachement ou la pulsion d'attachement sont-ils donc du même registre ? Attachement, courant tendre, pulsionnel des origines non encore sexualisé, pulsion de tendresse...
les options sont multiples. Peut-on imaginer une troisième voie : celle d'un pont entre attachement et psychosexualité ? La tendresse est-elle simplement une pulsion sexuelle inhibée quant au but ou autre chose ? Qu'est-ce que la tendresse au regard du cadre psychanalytique et des dispositifs s'en inspirant ? Une hérésie ? Un mal nécessaire ? Une impasse ? Ou ne pourrait-elle pas constituer un terreau fertile à la base de tout travail s'étayant sur la rencontre et le déploiement des relations ?