De lecture en lecture (de regard en regard), on s'avise qu'il nous est proposé ici une sorte de mise en abyme. Dans les mots de Véronique Wautier et dans les dessins/peintures de Godelieve Vandamme, les uns d'ailleurs appelant les autres - étant appelés par eux. On est à l'abri, on est l'abri, on est le courant et ce que le courant emporte, on est l'instant très doux dans la violence que la douceur habite.
On est le poème-abri qui ne pourra que voler en éclats. Et, pourtant, on est cette présence à la vie où tout se tient. Tout, même ce nous que la confiance parfois relie, ce sont les oiseaux qui le disent. Peut-être que les oiseaux savent donner ce qu'ils perdent ? Le cabaner pour nous ?
De lecture en lecture (de regard en regard), on s'avise qu'il nous est proposé ici une sorte de mise en abyme. Dans les mots de Véronique Wautier et dans les dessins/peintures de Godelieve Vandamme, les uns d'ailleurs appelant les autres - étant appelés par eux. On est à l'abri, on est l'abri, on est le courant et ce que le courant emporte, on est l'instant très doux dans la violence que la douceur habite.
On est le poème-abri qui ne pourra que voler en éclats. Et, pourtant, on est cette présence à la vie où tout se tient. Tout, même ce nous que la confiance parfois relie, ce sont les oiseaux qui le disent. Peut-être que les oiseaux savent donner ce qu'ils perdent ? Le cabaner pour nous ?